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L’AdTech est le marché des fournisseurs de technologie et des systèmes qui constituent l’infrastructure du secteur de la publicité en ligne.

Qu’est-ce que l’AdTech ?

L’AdTech, abréviation de advertising technology, décrit les logiciels, les outils et les systèmes qui permettent l’achat et la vente de publicité numérique. L’AdTech permet aux annonceurs de segmenter leur public, d’acheter des espaces publicitaires en ligne, de diffuser des publicités et d’analyser leurs performances. 

L’achat et la vente de publicité en ligne est un processus complexe, qui implique un réseau d’annonceurs (marques ayant du contenu à promouvoir), d’éditeurs (sites ou applications ayant des espaces publicitaires à vendre) et d’intermédiaires. L’AdTech réunit tous ces acteurs en leur fournissant les outils et les plateformes dont ils ont besoin pour négocier et mener des campagnes.

AdTech vs MarTech : Quelle est la différence ? 

Il est facile de confondre AdTech et MarTech (vous l’avez deviné : technologie marketing), mais il existe plusieurs différences évidentes. La MarTech est un terme générique qui couvre tous les produits de technologie marketing, du podcasting à la gestion de contenu en passant par les plateformes de gestion des médias sociaux. Vous pouvez considérer AdTech comme une branche du grand arbre de la MarTech.

Différences entre l’AdTech et la MarTech

Les équipes de marketing internes construisent une pile de plateformes MarTech pour les aider à communiquer directement avec les prospects et les clients par le biais d’emails, des réseaux sociaux et de leur site web. Toutefois, elles ne peuvent pas jouer un rôle direct dans le processus d’appel d’offres ou de placement de la publicité en ligne. 

Les plateformes AdTech, souvent dirigées par des agences, servent d’intermédiaires pour automatiser le processus d’achat de publicité et acheter des impressions d’audience pour le compte d’une entreprise. 

L’AdTechMarTech
Types de supports pris en chargePublicité en ligne payantePublicité payante en ligne, email marketing, SMS marketing, marketing organique des réseaux sociaux, publication de sites web, SEO/SEM, contenu organique vidéo et audio.
Modèles de facturationCoût des dépenses publicitaires avec une majoration en guise de commissionTarifs d’abonnement forfaitaires
Audience principaleAgences et éditeursMarketers in-house et agences

Quels sont les avantages de l’AdTech pour les annonceurs ?

La complexité croissante de la publicité en ligne a entraîné l’apparition de nouveaux outils et de nouvelles solutions pour aider les annonceurs à gérer et à mesurer leurs campagnes. L’AdTech permet aux annonceurs de mener des campagnes sur différents canaux, d’atteindre des audiences spécifiques et d’analyser les performances. 

Voici comment l’AdTech peut vous faire gagner du temps et vous aider à optimiser vos campagnes digitales. 

1. Automatisation et scaling

Avant l’AdTech, les responsables de la publicité devaient rechercher, sélectionner et approuver manuellement des emplacements ou des placements publicitaires individuels. Désormais, les marques peuvent utiliser l’automatisation, notamment l’IA et le machine learning, pour acheter des espaces publicitaires et optimiser les campagnes en fonction des résultats en temps réel. 

En bref, les outils d’AdTech ont permis de lancer plus facilement des campagnes à grande échelle sans disposer d’une grande équipe de marketing.

2. Optimisation des dépenses publicitaires

L’AdTech vous permet d’identifier et d’atteindre un groupe démographique précis, de sorte que vous ne gaspillez pas votre budget dans des publicités générales qui peuvent ou non atteindre votre public idéal. 

3. Suivi inter-appareils

Avec l’AdTech, vous pouvez mener des campagnes omnicanales sur tous les appareils. Il s’agit de reconnaître un utilisateur sur la base de son adresse email ou de ses cookies et de l’associer à d’autres appareils. Lorsqu’une correspondance est établie au sein du réseau, les réseaux publicitaires peuvent diffuser des publicités de réengagement afin d’offrir aux consommateurs plusieurs points de contact. Le suivi inter-appareils permet également d’améliorer l’analyse, en donnant une image plus complète du parcours du client sur l’ensemble des appareils.

4. Vitesse

Étant donné que l’AdTech peut mettre des supports de campagne aux enchères en une fraction de seconde, vous pouvez lancer une campagne pertinente rapidement, en éliminant les négociations et les placements prolongés. Cela vous permet de faire connaître votre marque, d’obtenir des clients potentiels et de réaliser des ventes dans un délai plus court.

Publicité programmatique : Le cœur de l’AdTech

L’AdTech est essentielle pour la publicité programmatique – un processus automatisé d’achat de publicité qui permet aux annonceurs d’acheter en temps réel l’accès à des audiences précisément segmentées. La publicité programmatique est considérée comme l’avenir de la publicité en ligne : Allied Market Research a évalué le secteur de la publicité programmatique à 451 milliards de dollars en 2021 et estime qu’il connaîtra une croissance supplémentaire de 36 % d’ici à 2031. 

schéma qui représente l'échange publicitaire entre acheteurs et vendeurs

Voici comment l’AdTech rend tout cela possible :

  1. L’annonceur fait appel à un réseau publicitaire pour lancer une campagne. Par l’intermédiaire d’une plateforme à la demande (DSP), les réseaux publicitaires indiquent au marché ce que l’annonceur recherche : l’audience souhaitée et le nombre d’impressions. 
  2. L’annonceur transmet au réseau le contenu de sa publicité (principalement de l’affichage, de la vidéo, du social et de l’audio).
  3. De son côté, l’éditeur utilise une plateforme d’offre (SSP) pour répertorier ses espaces publicitaires disponibles (inventaire). 
  4. L’ad-exchange relie les deux parties et utilise l’enchère en temps réel (RTB) pour organiser une vente aux enchères ouverte pour le contenu publicitaire. Le SSP enchérit sur le contenu publicitaire pour le compte des réseaux publicitaires et des éditeurs. Les ventes aux enchères ne durent que quelques fractions de seconde.
  5. L’enchérisseur gagnant publie l’annonce sur sa plateforme et partage les données analytiques avec les annonceurs par l’intermédiaire des réseaux publicitaires.

L’ensemble des parties intermédiaires et des infrastructures utilisées dans le cadre de la publicité programmatique peuvent être qualifiées d’AdTech. Nous les examinerons plus en détail ci-dessous. 

L’écosystème de l’AdTech

Pour vous aider à comprendre les complexités de l’AdTech, nous allons décortiquer chacun des différents éléments qui composent l’écosystème de l’AdTech. 

Agency trading desk (ATD)

Il s’agit du secteur d’une agence de publicité qui s’occupe de la planification et de l’achat des médias pour le compte des clients. Alors que les marques peuvent gérer cela directement par l’intermédiaire d’un DSP, les ATD offrent des conseils d’experts et le pouvoir d’achat d’une agence. Comme ils représentent de nombreux clients, les ATD peuvent travailler avec plusieurs DSP et négocier en bloc pour faire baisser les prix.

Demand-side platform (DSP)

Une DSP est une plateforme d’automatisation qui permet aux annonceurs de faire des offres, d’acheter et de placer des publicités en ligne. La DSP permet aux annonceurs de gérer plusieurs comptes d’ad-exchange au moyen d’une interface unique et d’apporter des modifications en temps réel en fonction des performances de la campagne.

Supply-side platform (SSP)

Une SSP est une plateforme qui gère l’inventaire publicitaire d’un éditeur (l’espace publicitaire dont il dispose) sur les plateformes d’échange. Les SSP aident les éditeurs à vendre et à gérer leur inventaire à grande échelle, en gagnant des revenus grâce à la vente programmatique en temps réel. 

Réseau publicitaire

Les éditeurs gèrent leur inventaire et perçoivent des revenus directement par l’intermédiaire des réseaux publicitaires. Un réseau publicitaire regroupe les offres et l’inventaire de plusieurs bourses afin de faciliter les ventes entre les éditeurs et les annonceurs. Les réseaux publicitaires utilisent des algorithmes pour mettre en relation les annonceurs et les éditeurs qui correspondent le mieux à leur public cible.

Ad Exchanges

Un ad exchange est la technologie qui réunit les DSP et les SSP de la publicité programmatique dans un environnement neutre et transparent – de la même manière que le marché boursier met en relation les acheteurs et les vendeurs. Il s’agit essentiellement d’un pool ouvert d’impressions qui utilise des algorithmes et l’apprentissage automatique pour faciliter le processus d’enchères en quelques millisecondes. 

Serveur de publicité (Ad server)

Un serveur publicitaire est une plateforme qui stocke les éléments créatifs d’une campagne, sélectionne la version à proposer à l’utilisateur et recueille des données sur les performances de la campagne. 

Plateforme de gestion des données (DMP)

Une DMP est une base de données centralisée qui collecte, stocke et déploie les données des utilisateurs pour la publicité en ligne. Les DMP collectent des données à partir de sources multiples afin d’établir un profil des caractéristiques démographiques, des intérêts et du comportement en ligne d’un utilisateur.

Tendances et défis de l’AdTech

Le secteur AdTech s’est développé et a mûri au cours des vingt dernières années, en ajoutant de nouvelles technologies et de nouveaux fournisseurs pour rendre l’achat et la vente de publicité plus rapides et plus efficaces. Au cours de cette période, la technologie s’est adaptée pour refléter les préférences des utilisateurs et un environnement réglementaire en constante évolution.  

Jetons un coup d’œil sur les principales tendances et les défis qui façonnent l’AdTech aujourd’hui, et sur la manière dont le paysage pourrait évoluer.  

1. Vie privée et sécurité des données

La publicité programmatique s’est largement appuyée sur les cookies pour faire correspondre les identifiants et le réengagement. Cependant, les consommateurs et les régulateurs se sont opposés aux cookies et au suivi inter-appareils pour des raisons de protection de la vie privée. Toujours adaptable, l’industrie AdTech a développé des méthodes de suivi alternatives qui permettent aux annonceurs d’obtenir les données et les analyses dont ils ont besoin, sans compromettre la sécurité de l’utilisateur.

Tout d’abord, Apple a mis en place son cadre de transparence du suivi des applications (ATT), limitant les données disponibles pour les annonceurs. Ensuite, Google a annoncé qu‘il supprimerait sa dépendance à l’égard des cookies tiers d’ici à 2024. Aujourd’hui, les annonceurs doivent s’attendre à de nouveaux changements, car Google, dont les publicités Android reposent en grande partie sur le suivi de l’ID de compte Google (GAID), s’apprête à supprimer progressivement le GAID au profit de l’outil Privacy Sandbox. 

À partir de 2024, Google fera passer une partie de ses utilisateurs à l’option Privacy Sandbox. Au lieu d’enregistrer et de stocker le comportement individuel, Privacy Sandbox regroupe les utilisateurs en groupes anonymes ayant des intérêts similaires et leur propose un contenu publicitaire basé sur les données démographiques et les intérêts de leur groupe. Google sollicitera l’avis des annonceurs et des développeurs tout au long du processus de transition, afin de protéger ses clients tout en offrant aux annonceurs les informations et les impressions qu’ils souhaitent.

2. Mesure de la télévision connectée (CTV)

Télévision connectée

Le streaming règne en maître : 87 % des foyers américains possèdent aujourd’hui au moins un appareil de télévision connectée (CTV). Les appareils CTV comprennent les téléviseurs intelligents, les boîtiers de diffusion en continu et les consoles vidéo connectées.

Avec la diffusion en continu, les réseaux publicitaires ont la possibilité de diffuser des publicités vidéo ciblées entre les émissions, plutôt que des publicités linéaires destinées au grand public. La CTV offre aux annonceurs la possibilité d’atteindre des audiences précieuses en fonction de leurs intérêts, de leurs caractéristiques démographiques, de leur situation géographique et de l’heure de la journée. 

Outre l’exposition ciblée des marques, la CTV offre aux annonceurs de puissantes possibilités de mesure des performances. Grâce aux données inter-appareils, les annonceurs peuvent suivre l’attribution CTV-mobile pour mesurer les installations d’applications et les événements postérieurs à l’installation dans le cycle de vie du client. Dans le climat économique actuel, il est plus important que jamais de comprendre l’impact réel de chaque dollar dépensé en marketing. 

3. Publicité dans le jeu (in-game advertising)

La publicité dans les jeux est une autre tendance en plein essor dans le domaine de l’AdTech. Si les jeux mobiles ont connu une forte popularité pendant la pandémie, l’engouement est retombé et les marketers des applications de jeux mettent tout en œuvre pour augmenter le nombre d’utilisateurs. Les dépenses publicitaires mondiales pour les installations d’applications de jeux ont totalisé 26,7 milliards de dollars en 2023.

Regarder une publicité vidéo pour obtenir une nouvelle vie ou une récompense n’est qu’un exemple du fonctionnement de la publicité dans le jeu. Ce partenariat profite à la fois aux annonceurs et aux éditeurs, mais les développeurs d’applications doivent trouver un équilibre entre les publicités dans les jeux et l’expérience utilisateur. L’AdTech facilite les enchères et fournit du contenu publicitaire aux applications, tout comme elle le fait pour les sites web et les plateformes vidéo.  

4. La publicité numérique hors domicile (publicité DOOH)

publicité numérique et hors domicile (DOOH)

Si vous avez vu un panneau d’affichage près de votre bureau, il y a de fortes chances qu’un représentant publicitaire ait travaillé directement avec le propriétaire du panneau pour sélectionner manuellement chaque panneau d’affichage placé dans votre ville, rue par rue. L’AdTech peut sérieusement rationaliser ce processus lent et manuel. 

Les experts évaluent le marché mondial du DOOH (digital out-of-home) à 18,8 milliards de dollars et prévoient une croissance de 11,6 % d’ici à 2030. Grâce à la publicité programmatique, les annonceurs peuvent lancer une campagne DOOH à tout moment. Ils peuvent également cibler des audiences en fonction de facteurs spécifiques tels que la météo ou l’heure de la journée pour un impact puissant.

FAQ

Que signifie AdTech ?

L’AdTech est l’acronyme de “Advertising Technology” (technologie de la publicité). Il s’agit des applications, des plateformes et des technologies qui facilitent l’achat et la vente de publicité numérique.

Quelle est la différence entre l’AdTech et la MarTech ?

L’AdTech se concentre sur les outils d’achat et de vente de publicité en ligne. Il s’agit d’un sous-ensemble de la MarTech, qui englobe toutes les technologies de marketing, y compris la gestion de contenu et les plateformes de médias sociaux.

Quels sont les principaux avantages de l’AdTech pour les annonceurs ?

L’AdTech propose l’automatisation pour une gestion efficace et évolutive des campagnes, l’optimisation des dépenses publicitaires en ciblant des données démographiques spécifiques, le suivi inter-appareils pour des campagnes omnicanales et la rapidité de lancement et d’analyse des campagnes publicitaires.

Qu’est-ce que la publicité programmatique et quel est son rapport avec l’AdTech ?

La publicité programmatique automatise l’achat et la vente d’espaces publicitaires numériques, permettant des enchères en temps réel et un ciblage précis de l’audience. L’AdTech fournit la technologie et les plateformes qui rendent cela possible.

Qu’est-ce qui compose l’écosystème de l’AdTech ?

L’écosystème AdTech comprend les bureaux de négociation des agences (trading desks), les plateformes du côté de la demande (DSP), les plateformes du côté de l’offre (SSP), les réseaux publicitaires, les échanges publicitaires, les serveurs publicitaires et les plateformes de gestion des données (DMP), qui facilitent les processus complexes de la publicité en ligne.

Quelles sont les tendances qui façonnent l’avenir de l’AdTech ?

Les préoccupations en matière de protection de la vie privée et de sécurité des données sont les principales tendances, comme le secteur s’adapte aux réglementations et aux préférences des utilisateurs en développant des alternatives au suivi habituel basé sur les cookies, telles que le Privacy Sandbox de Google pour l’analyse des données d’utilisateurs groupés. L’AdTech facilite également la publicité sur CTV, les jeux et la publicité numérique hors domicile.

Points clés à retenir

  • L’AdTech est l’infrastructure qui soutient la publicité programmatique – l’avenir de la publicité numérique. 
  • Grâce à l’achat et à la vente programmatiques, les annonceurs peuvent automatiser l’ensemble du processus de diffusion des publicités, recueillir des informations détaillées sur les utilisateurs et faire des offres pour obtenir les emplacements publicitaires les plus pertinents en temps réel.  
  • L’AdTech permet aux marques de lancer des campagnes plus rapidement, de les faire évoluer rapidement grâce à l’automatisation et d’optimiser leurs dépenses publicitaires grâce à un ciblage plus précis. 
  • Les entreprises AdTech s’adaptent à l’évolution des préférences des utilisateurs et des réglementations, en apportant des changements qui respectent la vie privée des clients et limitent le tracking des données des utilisateurs. Des initiatives telles que le “Privacy Sandbox” de Google reflètent l’abandon du suivi par les cookies. 
  • Outre les publicités dans les jeux et le DOOH, la CTV est un outil d’AdTech puissant qui permet aux annonceurs d’atteindre leur public idéal par le biais de téléviseurs intelligents, de consoles de jeux et d’appareils de diffusion en continu. La CTV offre des capacités de ciblage précises, de l’interactivité et des résultats mesurables, ce qui en fait une option attrayante pour les marques qui souhaitent rester à la pointe du progrès. 

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AOV (Average order value) https://www.appsflyer.com/fr/glossary/average-order-value/ Thu, 16 May 2024 18:45:57 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/panier-moyen-aov/ Qu’est-ce que le panier moyen (AOV)? L’AOV, ou valeur moyenne des commandes, est un indicateur utilisé en e-commerce pour mesurer le montant moyen que les clients dépensent par commande dans un temps donné. Par exemple, si vous dirigez une entreprise de e-commerce, vous pouvez analyser votre panier moyen mensuel pour comprendre la taille habituelle des […]

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Le panier moyen est la valeur moyenne de toutes les commandes des clients sur une période donnée.

Qu’est-ce que le panier moyen (AOV)?

L’AOV, ou valeur moyenne des commandes, est un indicateur utilisé en e-commerce pour mesurer le montant moyen que les clients dépensent par commande dans un temps donné.

Par exemple, si vous dirigez une entreprise de e-commerce, vous pouvez analyser votre panier moyen mensuel pour comprendre la taille habituelle des commandes. Si vous vendez, sur votre site internet, des pains de savon pour 10 $ et que vous en vendez en moyenne 3 par commande en Octobre, votre AOV pour ce mois sera de 30 $. 

L’AOV est un nombre dynamique qui fluctue dans le temps. Suivre l’AOV vous aide à analyser les habitudes d’achat des clients. Cela vous permet également d’évaluer le retour sur investissement de vos dépenses publicitaires. Ainsi, vous pourrez prendre des mesures pour améliorer votre rentabilité.

Comment calculer l’AOV ?

L’AOV peut être calculé à partir des rapports de votre site de e-commerce ou dans Excel (feuille de calculs). Tout d’abord, créez des paramètres ou générez un rapport pour la période que vous souhaitez analyser. Exécutez ensuite cette formule simple :

formule de calcul du panier moyen

Pour calculer la valeur totale de vos commandes, ne prenez pas en compte les taxes. Incluez le montant que les clients ont payé pour les produits, les frais d’expédition et les frais annexes. Par exemple, si vos commandes pour le Cyber Monday totalisaient 12 600 $ et que vous avez reçu 120 commandes, votre panier moyen serait de 105 $. 

12,600 / 120 = 105 $

Pourquoi l’AOV est-il important ?

Tout d’abord, l’AOV vous indique le montant des revenus que vous recevez généralement à chaque commande. En surveillant cela, vous pouvez suivre et projeter vos revenus au fil du temps et optimiser votre parcours d’achat pour de meilleurs bénéfices. 

Voici les principaux avantages du suivi de l’AOV :

1. Augmentez votre chiffre d’affaires

Votre AOV vous indique le montant que vos clients dépensent sur votre site. Un AOV plus élevé indique généralement le signe d’une plus grande réussite et un gain de revenus. Le montant (valeur) et le nombre de commandes (fréquence) sont plus importantes.

2. Améliorer la lifetime value (LTV)

Une fois que vous connaissez votre AOV, vous pouvez également améliorer votre lifetime value (LTV), correspondant au revenu moyen par client pendant tout son parcours d’achat auprès de votre marque. Vous pouvez identifier les facteurs qui génèrent des achats répétés et plus conséquents. Par exemple, des avantages et/ou remises qui récompensent la fidélité de votre clientèle ou la mise en place de la livraison gratuite au-delà d’un certain montant.

3. Améliorer les marges

L’acquisition d’un nouveau client est un travail fastidieux et coûteux. Focaliser sur un AOV plus élevé peut engendrer des marges plus élevées. Chaque commande e-commerce implique des coûts inhérents à l’activité : dépenses publicitaires, frais d’expédition et éventuellement une remise pour les nouveaux clients. Lorsqu’un client visite votre site et choisit un article à acheter, comprenez que chaque article supplémentaire ajouté au panier contribuera à augmenter vos revenus. Si un client est attiré par un article en promotion, l’encourager à ajouter un article au prix plein améliorera considérablement vos marges.

4. Comprendre la rentabilité des canaux

En plus de calculer votre panier moyen global, effectuez des calculs pour comparer le panier moyen entre les canaux. Si vous vendez sur une marketplace comme Amazon ou Etsy, par exemple, comparez chaque canal avec les ventes directes via votre site web. 

Vous pouvez également effectuer des calculs pour comparer l’AOV et la rentabilité entre les différentes plateformes publicitaires. Par exemple, vous pourriez constater que les publicités Instagram coûtent le double de vos campagnes publicitaires sur Google Search. Mais si les utilisateurs venant d’Instagram ont un AOV plus élevé que les acheteurs Google, les dépenses plus élevées sur Instagram deviennent justifiées. 

5. Obtenez des informations sur les tendances et les habitudes d’achat

Le suivi de votre panier moyen vous aide à prédire des patterns et des tendances qui ont un impact sur vos opérations. L’impact le plus important sur votre activité est la saisonnalité. Par exemple, vous pouvez constater des montants de commandes plus élevés au quatrième trimestre liés aux fêtes de fin d’année. Les bijoutiers ou les vendeurs de chocolat peuvent connaître un pic en février pour la Saint-Valentin. En anticipant le moment où les clients auront un panier moyen plus élevé, vous pouvez planifier vos revenus et allouer vos ressources en conséquence.

Vous devez également effectuer des analyses sur les commandes dont les valeurs de commande sont les plus élevées afin de déterminer d’autres tendances possibles. Ces commandes se sont-elles produites à un certain moment de la journée ? Y a-t-il eu une promotion particulière qui a conduit à ces commandes plus élevées ? 

Qu’est-ce qu’un bon AOV ?

Il n’y a pas d’indicateur universel qui définit un bon AOV. L’AOV d’une application de jeu ne peut pas être comparé à l’AOV d’une épicerie, qui ne peut pas être comparé à l’AOV d’un site web de bijoux de luxe. L’emplacement, le positionnement sur le marché et d’autres facteurs font qu’il est difficile de se comparer à d’autres marchands.

Cela dit, le site de référence marketing XP2 a identifié quelques benchmarks de base. Vous pouvez vous y référer pour trouver un benchmark global par secteur : 

  • Maison et mobilier : 248 $
  • Mode, accessoires et habillement : 142 $
  • Alimentation : 94 $
  • Vente multimarques : 84 $
  • Beauté et bien-être : 80 $
Quels sont les repères de panier moyen acceptables dans l'industrie ?

L’AOV varie en fonction du lieu. Il est intéressant de noter que les achats effectués à partir d’ordinateurs de bureau (desktop) ont un panier moyen plus élevé que les achats effectués sur mobiles. Pensez-y : vous pouvez commander un livre ou des chaussettes sur votre téléphone pendant que vous êtes dans le bus, mais lorsqu’il s’agit d’investir dans un nouvel ordinateur portable ou une nouvelle machine à laver, vous voulez probablement vous mettre à l’aise et faire vos recherches sur un écran plus grand. 

Lors de l’analyse comparative, n’oubliez pas que le point de comparaison le plus important que vous avez, c’est vous-même. Efforcez-vous d’améliorer votre propre panier moyen par rapport aux périodes précédentes, au lieu de vous soucier de points de référence externes.

Comment augmenter l’AOV ?

L’AOV est un indicateur puissant qui offre un aperçu du comportement des clients. Suivre le statut de votre AOV est plus qu’une donnée à avoir en tête – une fois que vous connaissez votre AOV, vous avez la possibilité de l’augmenter. Bien qu’il existe de nombreuses stratégies pour augmenter l’AOV, elles se résument toutes à deux objectifs : encourager les clients à acheter plus de produits et à dépenser plus pour les produits. 

Voici sept stratégies que vous pouvez utiliser pour augmenter l’AOV et, par conséquent, améliorer les performance de votre business.

Comment augmenter l’AOV ?

Upsell (vente incitative)

L’upsell consiste à proposer un produit premium ou plus cher avant que le client ne finalise son achat avec un article de moindre valeur. Si un client a une cafetière dans son panier, par exemple, vous pouvez lui suggérer le modèle au-dessus, qui comprend une machine à expresso. Chaque plateforme de e-commerce a sa propre façon de proposer des upsells sur une page produit ou tout au long du process d’achat jusqu’au paiement.

Ventes croisées (cross sell)

La vente croisée permet de suggérer des produits complémentaires, au produit initialement choisit par votre client. Ainsi, au lieu de remplacer l’article que ce dernier souhaite, par un article de plus grande valeur, vous pouvez lui suggérer des filtres à café en plus de sa cafetière. Certains sites de e-commerce y parviennent en recommandant des articles complémentaires sur la page produit ou directement au niveau du checkout. Vous pouvez lier les articles à recommander dans le back-end de votre boutique en ligne, ou même utiliser la personnalisation des ventes croisées encore plus réussies. 

Offre groupée

L’offre groupée vous aide à augmenter le panier moyen en incitant les clients à acheter plus de produits. Au lieu de vendre des produits, X, Y et Z individuellement, proposez-les sous forme de lot. Prenons l’exemple de la machine à café : vous pourriez suggérer une machine à expresso, avec un pichet qui fait mousser le lait et un moulin à grains afin d’offrir le combo complet pour préparer des cafés. 

Les clients apprécient les offres groupées pour diverses raisons. Ils peuvent bénéficier d’une réduction (avantage économique) en achetant plusieurs articles ensemble. De plus, la valeur perçue d’une offre groupée est clé : le fait d’acheter plusieurs articles lors d’une même commande permet aux clients d’économiser du temps et de répondre à leurs besoins en un seul achat.

Livraison gratuite (avec un minimum de commande)

La livraison gratuite n’aide pas vos marges pour une petite commande, mais peut inciter les clients à passer une commande plus importante. Une étude Shopify a révélé que les gens dépensent 22 $ de plus par commande avec la livraison gratuite par rapport à la livraison payante, et qu’ils commandent 2,5 articles par commande avec la livraison gratuite, contre moins de deux articles sans. 

La clé du succès de cette stratégie est de choisir stratégiquement un minimum de commande qui est supérieur à votre panier moyen, mais pas trop au-dessus. Par exemple, si votre panier moyen est de 60 $, vous pouvez choisir un minimum de commande de 75 $.

Application d’un pourcentage de réduction

Tout comme pour la livraison gratuite, vous pouvez utiliser un pourcentage de réduction pour inciter à dépenser davantage. Par exemple, dépensez 100 $, obtenez une réduction de 15 %. Si votre panier moyen est de 70 $ et que vous parvenez à convaincre les clients de dépenser 100 $ à la place, vous générez toujours plus de revenus, même avec la remise.

Les programmes de fidélisation

Un programme de fidélité gamifie les achats en offrant des avantages en fonction du montant dépensé par le client. Les programmes de fidélisation les plus efficaces permettent de savoir à quel point une personne se rapproche d’une éventuelle récompense. Les programmes de fidélisation envoient également des offres et des rappels pour encourager le client à engager plus de dépenses sur votre site. Prenons l’exemple du programme de fidélité de Starbucks : les clients peuvent consulter leur solde d’étoiles à tout moment et profiter d’offres spéciales pour doubler leurs points déjà cumulés/gagnés. 

Programmes de service à la clientèle

A premier abord, on pourrait penser que le service client et la valeur des commandes ne soient pas liés. Sauf que ces deux composantes sont plus étroitement liés que vous pensez. 

Effectuer un achat représente un risque surtout pour un client qui découvre tout juste votre marque. Les clients ne savent pas si la qualité sera à la hauteur de leurs attentes. Ils peuvent donc commencer par générer une petite première commande ou abandonner complètement le processus. Le fait d’avoir un service client facilement accessible par chat pour répondre aux questions apaise leurs inquiétudes. Un service client réactif donne aux clients la confiance nécessaire pour commander plus d’articles, sachant que vous serez là pour eux s’ils en ont besoin.

FAQ

Qu’est-ce que le panier moyen (AOV)?

L’AOV, ou panier moyen des commandes, est un indicateur de e-commerce qui indique le montant moyen dépensé par commande par les clients sur une période donnée. Cet indicateur fournit des informations sur les habitudes d’achat des clients qui peuvent être utilisées pour optimiser la rentabilité de l’entreprise.

Comment calculer l’AOV ?

Pour calculer l’AOV, divisez la valeur totale des commandes par le nombre de commandes sur la même période. La valeur de la commande doit inclure ce que les clients ont payé pour les produits, les frais d’expédition et les frais, mais exclure les taxes (comme la TVA par exemple).

Pourquoi l’AOV est-il important ?

L’AOV est essentiel pour comprendre le chiffre d’affaires par commande, prévoir les revenus futurs, optimiser le parcours d’achat des clients sur le site, améliorer la lifetime value (LTV), comprendre la rentabilité des canaux et mieux comprendre les tendances et les habitudes d’achat.

Qu’est-ce qu’un bon AOV ?

Un bon AOV dépend de divers facteurs, notamment l’industrie, la géographie, le type de produit, le positionnement sur le marché et les données démographiques des clients. Il peut varier considérablement d’un secteur à l’autre comme la maison et les meubles, la mode, l’alimentation et les boissons, etc.

Comment puis-je augmenter l’AOV ?

Les stratégies visant à augmenter l’AOV consistent généralement à encourager les clients à acheter plus et à dépenser plus. Vous pouvez le faire par le biais de la vente incitative, de la vente croisée, des offres groupées, de la livraison gratuite avec une valeur minimale de commande, de l’application de remises en pourcentage, de l’introduction de programmes de fidélité et de l’amélioration du service client.

Points clés à retenir

L’AOV (le panier moyen) est un indicateur clé en e-commerce qui indique la valeur moyenne des commandes passées par les clients au fil du temps. En suivant et en optimisant cet indicateur, vous pouvez augmenter vos revenus et améliorer vos marges.

  • Un panier moyen plus élevé se traduit par une augmentation du chiffre d’affaires et une amélioration de la lifetime value (LTV).
  • L’AOV vous donne un aperçu des tendances d’achat et vous permet d’analyser la rentabilité des différents canaux.
  • Un bon AOV varie selon les industries et les emplacements. Au lieu de vous comparer à vos concurrents, concentrez-vous sur l’augmentation de votre propre panier moyen chaque mois.
  • L’AOV peut fluctuer en fonction des tendances et de la saisonnalité. Reconnaître ces tendances vous permet d’anticiper vos revenus et de vous préparer aux changements de comportement des clients pendant les périodes de pointe, telles que les vacances ou les événements spéciaux.
  • Les stratégies visant à augmenter l’AOV comprennent la vente incitative, la vente croisée, les offres croisées, la livraison gratuite, les remises, les programmes de fidélité et le service client.
  • Grâce aux stratégies d’optimisation de l’AOV, vous pouvez inciter les clients à acheter plus d’articles et à dépenser plus dans l’ensemble.

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Les notifications push https://www.appsflyer.com/fr/glossary/push-notifications/ Sun, 12 May 2024 17:31:39 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/les-notifications-push/ Qu’est-ce qu’une notification push ? Les notifications push, également appelées notifications push serveur, sont des messages courts envoyés par des applications à des appareils mobiles. Elles sont similaires aux messages SMS ou aux alertes mobiles et s’affichent en plein écran ou sous forme de bannière en haut ou en bas, selon la fonction ou l’objectif […]

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Les notifications push

Les notifications push sont des messages cliquables et contextuels envoyés par une application à votre appareil mobile ou à votre ordinateur de bureau. Elles sont conçues pour attirer l’attention de l’utilisateur et transmettre des messages importants, même lorsque l’application n’est pas ouverte.

Qu’est-ce qu’une notification push ?

Les notifications push, également appelées notifications push serveur, sont des messages courts envoyés par des applications à des appareils mobiles. Elles sont similaires aux messages SMS ou aux alertes mobiles et s’affichent en plein écran ou sous forme de bannière en haut ou en bas, selon la fonction ou l’objectif de la notification.

Les notifications push ont été introduites pour les appareils iOS et Android en 2009 et ont depuis gagné en popularité. Elles constituent un moyen rapide de partager, avec les utilisateurs, des informations essentielles ou des offres limitées dans le temps. De plus, vous pouvez les envoyer à tout moment, car l’utilisateur n’a pas besoin d’être en train d’utiliser son téléphone ou son application pour les voir apparaître.

Le fonctionnement des notifications push

Les notifications push doivent attirer l’attention et inciter à l’action. Elles nécessitent plusieurs éléments qui doivent respecter les limites de caractères requises :

1. Icône : Les images doivent être au format PNG, JPG ou GIF (non animées). Une fois l’icône définie, vous ne pouvez pas la modifier pour des messages individuels. 

2. Titre : Une phrase courte qui attire l’attention.

3. Contenu : Un résumé concis de l’offre, rédigé de manière à inciter l’utilisateur à entreprendre l’action prévue. Le contenu peut inclure une image ou une URL.

4. Appel à l’action : L’action que vous souhaitez que l’utilisateur entreprenne, telle que “Regardez maintenant” ou “Réservez votre place”.

L’importance de l’opt-in

Un message opt-in est votre toute première notification aux utilisateurs, leur demandant la permission explicite de leur envoyer des notifications push. 

L’opt-in doit communiquer sur l’intérêt de vos notifications push pour l’utilisateur. Cette toute première notification doit demander aux utilisateurs s’ils souhaitent continuer (ou non) à recevoir des informations de votre part. C’est l’occasion de renforcer la confiance en votre marque. Pour maximiser vos chances de réussite, personnalisez votre message afin qu’il mette en avant les avantages qu’auront les utilisateurs à recevoir votre contenu via les notifications push.

Une fois que les utilisateurs ont donné leur accord, vous pouvez les ajouter en tant qu’abonnés et commencer à dialoguer avec eux pour les inciter à revenir sur votre application.

Notifications push ou messages SMS

Notifications push ou SMS

Les messages SMS (texte) présentent certaines similitudes avec les notifications push. Ils sont toutefois des outils marketing différents. On vous explique pourquoi :

  • Audience : les notifications push ne sont envoyées qu’aux utilisateurs de l’application, alors que les SMS sont destinés à toute personne ayant choisi de les recevoir.
  • Délivrabilité : les utilisateurs doivent installer l’application pour recevoir une notification push, alors que pour recevoir un SMS, il faut simplement envoyer un message au numéro ciblé. 
  • Intention : une notification push est généralement promotionnelle, éducative ou basée sur la géolocalisation, tandis qu’un SMS est principalement transactionnel et utilisé pour transmettre des informations urgentes.

Par exemple, si vous avez une application de e-commerce, vous pouvez utiliser une notification push pour annoncer une vente inédite de chaussures. Vous pouvez ensuite faire suivre cette notification d’un SMS indiquant une mise à jour de la livraison.

Notifications in-app vs. notifications push

Notifications push ou notifications in-app

Les notifications in-app sont des messages courts, conçus pour attirer l’attention des utilisateurs sur de nouvelles fonctionnalités, mettre en avant des offres spéciales et recruter de nouveaux utilisateurs.

Voici en quoi les notifications in-app diffèrent des notifications push : 

  • Audience : les notifications push peuvent être reçues à tout moment, alors que les notifications in-app ne sont visibles que par les personnes qui utilisent activement l’application. 
  • Objectif : les notifications push fonctionnant en dehors de l’application, elles sont idéales pour faire revenir les utilisateurs inactifs. Les notifications in-app, quant à elles, orientent les utilisateurs à l’intérieur de l’application.
  • Désactivation des notifications : les utilisateurs peuvent désactiver les notifications push, mais pas les notifications in-app.

Par exemple, vous pouvez utiliser une notification push pour avertir les utilisateurs d’une mise à jour de l’application, et une notification in-app pour présenter les fonctionnalités spécifiques de cette nouvelle mise à jour de l’application. 

Les avantages des notifications push

Avantages des notifications push

Voici un bref aperçu des principaux avantages des notifications push :

1 – Rentrer en contact avec les utilisateurs à tout moment et en tout lieu

Vous n’avez pas besoin d’attendre que les utilisateurs interagissent dans votre application pour voir votre contenu. Ainsi, vous sortez du lot en vous démarquant de la concurrence. De plus, vous pouvez atteindre une grande portée sans vous ruiner. 

2 – Engager et fidéliser les utilisateurs 

Pensez-y : vous vous adressez à un public qui est déjà suffisamment engagé car il a déjà téléchargé votre application. Les notifications push sont donc l’occasion de leur rappeler les avantages de l’application et de les inciter à revenir, grâce à des messages personnalisés qui répondent à leurs besoins immédiats. 

Aidez-les à naviguer dans votre app, rappelez-leur d’effectuer une action (comme un essai gratuit ou un achat), fournissez-leur des informations actualisées ou offrez-leur des remises pour les récompenser de leur fidélité. 

3 – Augmenter les conversions

Comme indiqué ci-dessus, vous avez fait le plus dur en terme d’acquisition d’utilisateurs. Vous disposez désormais d’un public engagé, prêt à passer à l’action – à condition de lui adresser le bon message, au bon moment. 

Étant donné la facilité avec laquelle les clients peuvent passer de votre message à l’application, les notifications push constituent un excellent moyen de stimuler les achats et les nouvelles inscriptions.

4 – Générer du trafic

Les notifications push permettent également d’augmenter le trafic vers votre application mobile ou votre site web tout en incitant les utilisateurs à s’engager en permanence par votre contenu. 

Par exemple, la plateforme de jeux GoGy Games a lancé des notifications push automatisées pour envoyer des alertes sur les jeux tendance et pertinents en fonction des fuseaux horaires des utilisateurs. Cela a permis d’attirer des milliers de nouveaux utilisateurs et d’inciter les joueurs à rester plus longtemps sur la plateforme.

5 – Créer des opportunités de monétisation

Les notifications push sont des impressions garanties, car les utilisateurs ne peuvent pas les manquer. Elles apparaissent directement sur leur écran. Cela en fait un outil de monétisation puissant qui augmente les revenus et apporte de la valeur aux partenaires publicitaires. 

Par exemple, une marque de vêtements pourrait sponsoriser les notifications push d’une application de shopping pour envoyer à ses utilisateurs des informations sur les offres spéciales ou les nouveaux produits. 

Et comme 75 % des clients sont prêts à recevoir des notifications push pertinentes, vous ne compromettez pas l’expérience utilisateur pour gagner plus d’argent.

Types de notifications push

Dans cet article, nous nous concentrons sur les notifications push des applications mobiles, qui sont déclenchées par une application existante sur l’appareil de l’utilisateur.  

Notifications push de l'application mobile

Outre les alertes traditionnelles qui restent affichées à l’écran jusqu’à ce que l’utilisateur les supprime manuellement, les notifications push des applications mobiles peuvent également prendre la forme d’une bannière ou d’un badge :

  • Les bannières de notification sont de brefs messages qui s’affichent à l’écran avant de disparaître. Ils contiennent le début d’un message (comme dans WhatsApp) ou des alertes pour informer d’opérations en cours.
  • Les notifications par badge apparaissent sous la forme d’un point rouge sur l’icône de l’application. Elles sont généralement accompagnées d’un chiffre, comme le nombre de notifications non lues dans l’application.

Les notifications push sur mobile sont différentes entre iOS et Android.

Pour les appareils iOS, une notification push apparaît d’abord sur l’écran de verrouillage. Une fois l’appareil déverrouillé, la notification passe par le centre de notification. Les utilisateurs d’Android ont toutefois plus de contrôle : ils peuvent définir l’ordre de priorité des notifications push, les regrouper par type et déterminer la façon dont elles apparaissent sur leurs appareils. 

En plus des notifications issues des applications, vous pouvez également trouver :

Notifications push web
  • Notifications push web : ces notifications apparaissent sur les sites web en desktop ou en mobile, encourageant les utilisateurs à revenir sur votre site pour favoriser les conversions.
  • Notifications push sur desktop : elles sont déclenchées par des produits que l’utilisateur a déjà installés sur son bureau. 
  • Notifications push sur objets connectés : elles apparaissent sur les montres intelligentes (smart watches) et autres appareils similaires. Les messages diffusés doivent être très concis pour s’adapter à la petite taille de l’écran. Les utilisateurs peuvent gérer leurs paramètres pour contrôler les applications qui peuvent leur envoyer des notifications.
Notifications push des appareils portables

Types de campagnes de notification push

Les notifications push sont l’équivalent numérique des petits mots qu’on écrit à la main, conçus pour susciter l’intérêt de votre audience.

Utilisez les notifications push pour maintenir l’engagement et attirer l’attention de vos utilisateurs. Voici quelques idées de campagnes :

  • Notifications push limitées dans le temps : informez vos utilisateurs d’événements limités dans le temps, telles que des avant-premières exclusives et des ventes flash. Créez un sentiment d’urgence afin d’inciter à l’action. 
  • Rappels : envoyez aux utilisateurs un petit coup de pouce bienveillant à un moment opportun de leur journée, comme le moment de méditer, d’étudier ou de programmer une alarme pour leur session sportive matinale.
  • Notifications push déclenchées : créez des campagnes basées sur le comportement de l’utilisateur en temps réel dans l’application. Par exemple, envoyez des félicitations aux utilisateurs qui ont utilisé votre application pendant sept jours consécutifs.
  • Mises à jour transactionnelles : il est utile d’informer les utilisateurs du statut de leurs transactions. Pensez aux mises à jour des commandes et aux rappels de paiement. 
  • Notifications de panier abandonné : réengagez les utilisateurs et encouragez-les gentiment à acheter les produits laissés dans leur panier : “Hey, les articles sélectionnés dans votre panier sont maintenant en promo. Commandez-les aujourd’hui !”
  • Notifications push enrichies : ces notifications incluent des images, du son, des vidéos et d’autres éléments interactifs pour attirer les utilisateurs et les inciter à revenir sur votre application ou votre site web. Il peut s’agir, par exemple, d’envoyer des mises à jour météorologiques ou des alertes sur les prix.

À quoi servent les notifications push ?

Les notifications push ont un certain nombre d’intérêts : 

1 – Engagement et fidélisation des clients

Les notifications push permettent de garder votre application en tête grâce à des offres, des rappels et des notifications personnalisés. 

Elles peuvent également jouer un rôle clé dans le recrutement de nouveaux utilisateurs, en les encourageant à se familiariser avec leur nouvelle application et ses avantages. L’envoi d’une notification push à un nouvel utilisateur au cours de sa première semaine peut augmenter la fidélisation de 71 %

2 – Marketing basé sur l’action

Les notifications push permettent aux utilisateurs d’entreprendre facilement une action spécifique, par exemple, vérifier les paniers abandonnés ou aller au bout de l’onboarding. Elles servent également de rappels opportuns pour susciter de nouveau l’engagement dans l’application ou le site web.

Lorsque vos notifications sont bien programmées et la personnalisation pertinente, elles peuvent constituer un élément très efficace de votre boîte à outils marketing sur mobile. 

3 – Vérification de l’identité 

Les notifications push sont l’une des formes les plus pratiques d’authentification pour des questions de sécurité. Les entreprises des domaines de la santé et de banque en ligne les utilisent souvent comme facteur d’authentification avant d’autoriser les utilisateurs à accéder à l’application, au site web ou à des données sensibles.

4 – Communication d’utilité publique

L’Américain moyen recevant 46 notifications push par jour, il n’est pas surprenant que les utilisateurs soient sélectifs quant aux notifications qu’ils acceptent de recevoir (ou non). Les utilisateurs doivent faire confiance à l’expéditeur et trouver les notifications réellement utiles.  

C’est le cas des administrations locales et des services publics qui utilisent les notifications push pour transmettre des informations importantes. Parmi les exemples les plus courants, on peut citer les alertes info trafic, les alertes météo et de coupure éventuelle d’électricité qui aident les gens à rester en sécurité. 

5 – Expérience utilisateur connectée (UX)

Les notifications push comblent le fossé entre les liens de communication en ligne et hors ligne. Elles contribuent à réduire les frictions tout au long du parcours client en envoyant des notifications transactionnelles en temps réel pour tenir les utilisateurs informés de leurs achats, créant ainsi une expérience omnicanale transparente.

L’utilisation des notifications push vous aidera à développer une base de clients fidèles et engagés, à générer des conversions et à développer votre activité.

Comment fonctionnent les notifications push ?

Avant d’entrer dans le vif du sujet, il convient de comprendre certains termes clés : 

  • Service de notification push du système d’exploitation (OSPNS) : Chaque système d’exploitation mobile (OS), comme iOS et Android, dispose de son propre service.
  • Editeur de l’application : Après avoir activé son application avec un ou plusieurs OSPNS, l’éditeur (propriétaire de l’application) la publie sur l’app store.
  • Application client : Une application spécifique au système d’exploitation installée sur l’appareil de l’utilisateur qui reçoit toutes les notifications push.

Ces éléments se déclinent en quatre étapes clés :

Phase 1 : Inscription à l’OSPNS 

  1. L’éditeur de l’application s’inscrit auprès de l’OSPNS.
  2. Chaque OSPNS fournit à l’éditeur de l’application une interface de programmation d’application (API) qui permet à l’application de communiquer avec le service.
  3. L’éditeur de l’application ajoute un kit de développement logiciel (SDK) à l’application, qui est une bibliothèque de codes spécifique à l’OSPNS.
  4. L’éditeur de l’application publie l’application sur l’app store.

Phase 2 : Installation de l’application

  1. L’utilisateur visite son app store et installe l’application.
  2. Lorsque l’utilisateur ouvre l’application, des identifiants uniques (ID) pour utiliser l’application sur son appareil sont enregistrés dans l’OSPNS.
  3. L’OSPNS renvoie les identifiants à l’application et les envoie à l’éditeur de l’application.
  4. Les éditeurs de l’application stockent les détails de l’enregistrement, y compris les identifiants.

Phase 3 : Envoi de notifications push

  1. L’éditeur de l’application crée un message manuel à l’aide d’une interface utilisateur (UI) de composition de messages. Il peut également créer un message automatisé et l’envoyer via l’API.
  2. L’éditeur de l’application définit l’audience qui recevra les notifications push et décide d’envoyer le message immédiatement ou de le programmer pour plus tard.

Notez que vous pouvez personnaliser les notifications push en fonction des différents segments de votre base d’utilisateurs. Tout d’abord, vous devrez recueillir les données d’identification des utilisateurs et installer une interface spécialisée pour rédiger, cibler et envoyer des messages.

Phase 4 : Choisir l’option

Chaque OSPNS a des processus d’opt-in différents. Sur iOS, les utilisateurs doivent donner leur autorisation explicite pour recevoir des notifications push. Sur Android, c’est l’inverse : les utilisateurs doivent se désinscrire manuellement. 

Une fois que l’utilisateur a accepté de recevoir des notifications push, vous pouvez commencer à l’inciter à utiliser votre application.

8 bonnes pratiques et stratégies en matière de notification push 

Avant de commencer à envoyer des notifications push, consultez nos bonnes pratiques : 

1 – Créer du contenu attrayant…

Découvrez les questions que se pose votre public cible et créez un contenu qui y répond. Rendez votre texte persuasif grâce à des phrases claires et précises et à des CTA. 

Créer un sentiment d’urgence peut également inciter les utilisateurs à accomplir l’action attendue.

2 – …mais en étant bref

Des études montrent que les notifications push de 10 mots ou moins obtiennent les meilleurs taux de clics – et les clics diminuent quand les messages deviennent plus longs. Allez donc à l’essentiel et faites en sorte que chaque mot est pertinent. 

On dit qu’une image vaut mieux que mille mots. C’est peut-être la raison pour laquelle les emojis obtiennent de si bons résultats dans les notifications push, générant un engagement nettement plus important.  

3 – Utiliser la preuve sociale

Partagez les expériences positives de vos utilisateurs actuels afin d’encourager les nouveaux utilisateurs à se joindre à vous. Utilisez vos réseaux sociaux ou votre site web pour diffuser cette preuve sociale et ainsi construire votre communauté.  

4 – Segmenter et personnaliser autant que possible

En segmentant les utilisateurs en fonction de paramètres pertinents (tranche d’âge, géolocalisation, revenus moyens, etc.), vous pouvez créer des messages personnalisés qui stimulent l’engagement. 

Utilisez les tests A/B pour déterminer les types de messages qui ont le plus d’impact. 

5 – Travailler sur les opt-ins et opt-outs 

Le fait que les utilisateurs doivent accepter ou refuser vos notifications dépend de leur système d’exploitation. Quoi qu’il en soit, il vous appartient de rendre le processus aussi simple que possible. 

Lorsque vous demandez aux utilisateurs de s’inscrire grâce à un opt-in, veillez à ce que la valeur de vos notifications soit claire. Au contraire, prenez les désabonnements, qui sont inévitables, avec philosophie : considérez-les comme une occasion de laisser place à vos utilisateurs plus engagés, plus susceptibles de cliquer et de convertir. 

6 – Incorporer des liens profonds

Un des principaux avantages des notifications push est leur confort d’utilisation : les utilisateurs ne sont qu’à un clic de l’action souhaitée. Pour que l’expérience soit la plus agréable possible pour eux, intégrez des liens profonds dans vos messages. Ils conduiront les utilisateurs directement à la section correspondante de votre application, plutôt que de les obliger à naviguer à partir de la page d’accueil. 

7 – Optimiser pour différents appareils

Vous vous souvenez que nous avons dit que les notifications push s’affichaient différemment selon les téléphones iOS et Android ? C’est pourquoi il est important de tester votre produit sur les deux types d’appareils afin de s’assurer que tous les utilisateurs bénéficient d’une expérience agréable. Par exemple, vous ne voulez pas que votre message soit interrompu au milieu d’un mot important. 

L’affichage peut même varier en fonction du modèle de téléphone. Vous devrez également tester d’autres appareils, comme les tablettes et les objets connectés (smart watch). 

8 – Prendre le respect de la vie privée au sérieux

Dans le monde d’aujourd’hui, où la vie privée est au cœur des préoccupations, les utilisateurs s’inquiètent à juste titre des données qui peuvent être obtenues à partir des notifications push et de la manière dont elles sont utilisées et potentiellement partagées. 

Pour garantir une conduite éthique et conforme aux réglementations telles que le RGPD et le CCPA, assurez-vous la transparence, le consentement, la limitation, la sécurité et la conservation des données.

Pour assurer la conformité avec le RGPD et le CCPA, il est essentiel d’informer clairement les utilisateurs dès leurs premiers pas sur votre app. Vous devez préciser votre démarche sur la collecte des données, sa nécessité, les mesures de sécurité et la durée de conservation, ainsi que les personnes autorisées à accéder à ces données. Obtenir le consentement des utilisateurs est primordial dans ce processus de transparence et de respect de la législation.

Les erreurs courantes à éviter en matière de notification push

Nous avons tous été confrontés à l’omniprésence des notifications push. Ces notification peuvent être intrusives et vous inciter à vous désabonner, voire à désinstaller l’application. Pour éviter que cela ne vous arrive, faites attention aux pièges suivants :  

  • Surcharge de messages : lorsqu’il s’agit de notifications push, pensez à la qualité plutôt qu’à la quantité. La bonne fréquence varie en fonction de votre secteur d’activité et du type d’application. Soyez donc sélectif et effectuez des tests A/B pour comprendre ce que signifie “trop peu” ou “trop” pour votre entreprise.
  • Pas de personnalisation : chaque utilisateur est différent et votre contenu doit refléter ses préférences. Segmentez votre base d’abonnés en fonction de leur comportement, puis personnalisez vos messages en conséquence. 
  • Pas d’onboarding : les notifications push familiarisent les nouveaux utilisateurs avec votre application. Lorsqu’elles sont envoyées à des intervalles appropriés, elles permettent aux utilisateurs d’explorer plus facilement l’application et d’en comprendre les fonctionnalités, de sorte qu’ils restent engagés sur le long terme.
  • Distribution manuelle : programmez vos messages à une date et une heure précises afin d’obtenir un engagement maximal. Les utilisateurs seront plus réceptifs et vous gagnerez un temps précieux. 
  • Manque d’évaluation des indicateurs : regardez au-delà des taux de clics pour vous assurer que vos notifications push offrent un bon retour sur investissement. Ajoutez dans votre liste d’indicateurs à suivre la complétion de formulaires, aux inscriptions à des essais gratuits et aux achats, par exemple. 

A ce propos…

Analyse des notifications push et mesures des performances

Mesures de performance des notifications push

Il est essentiel d’analyser correctement les performances de vos notifications push si vous voulez optimiser vos campagnes et créer la meilleure expérience utilisateur. Il y a une marche à suivre pour arriver à l’équilibre : notifications push vs expérience utilisateur.

Il existe un certain nombre d’indicateurs clés que vous pouvez suivre, et votre ambition peut changer en fonction des objectifs de votre campagne. Voici 5 indicateurs qui, ensemble, vous aideront à avoir une maîtrise de vos campagnes de notifications push.   

1 – Le taux d’opt-in

Cet indicateur met en évidence le nombre d’utilisateurs abonnés à vos notifications push. C’est la différence entre le nombre d’utilisateurs qui visitent votre application ou votre site web et le nombre d’utilisateurs qui s’y inscrivent. 

Le taux d’opt-in vous indique comment votre public réagit à votre message d’opt-in et vous donne des indications pour le configurer de manière à ce qu’il résonne mieux auprès de vos utilisateurs.

2 – Le taux d’impression

Cet indicateur correspond au nombre d’utilisateurs qui a vu votre notification par rapport au nombre total d’utilisateurs qui l’ont reçue. 

Bien que la visualisation ne soit pas la même chose que le clic, le taux de visualisation reste une mesure précieuse pour savoir si vos utilisateurs remarquent vos messages. Si ce n’est pas le cas, réfléchissez à la manière dont vous pourriez les rendre plus visibles/attrayants. 

Le taux de clics ou « click-through rate »

Le taux de clics (CTR) indique le pourcentage d’utilisateurs qui a vu et cliqué sur votre notification push pour consulter votre contenu. Le CTR moyen pour les notifications push est d’environ 8 %, mais les chiffres peuvent varier considérablement en fonction du jour, de l’heure, de votre secteur d’activité et même de l’endroit où vit votre public. 

4 – Revenu issu des notifications push

L’augmentation du chiffre d’affaires est souvent votre principal objectif marketing, il est donc logique de suivre le montant du chiffre d’affaires généré par chaque notification, en particulier si vous possédez une application ou un site web de e-commerce. 

5 – Taux de désinscription

Cet indicateur met en évidence le nombre d’utilisateurs qui se désabonnent de vos notifications push, ce qui vous aide à évaluer l’efficacité de votre contenu et le calendrier de vos campagnes. 

Il y aura toujours des désabonnements, il faut donc s’efforcer d’en maîtriser le nombre. S’il reste faible, ne perdez pas votre temps à essayer d’atteindre un taux zéro.

L’avenir des notifications push : tendances pour 2023-24

Les notifications push existent depuis des années, mais que réserve l’avenir à cet outil marketing ? Examinons quelques tendances à venir :

L’essor de l’IA

L’intelligence artificielle (IA) et l’apprentissage automatique changent la donne pour les notifications push. Vous pouvez déjà utiliser des outils d’IA créatifs, comme l’incontournable ChatGPT, pour élaborer rapidement des messages efficaces dans un nombre limité de caractères. 

Ces technologies permettent également une plus grande personnalisation. Grâce à une segmentation détaillée et à l’analyse prédictive, vous pouvez aussi prévoir le comportement des utilisateurs en fonction de leurs préférences et de leurs habitudes. Vous pouvez ainsi envoyer aux utilisateurs le bon message, au bon moment, pour un maximum de résultats. 

La technologie ouvre également la voie au ciblage par géolocalisation : à condition d’activer le suivi, les utilisateurs peuvent recevoir des notifications en fonction de leur localisation. Supposons qu’un utilisateur se rende sur un lac prisé par les adeptes du paddleboard : votre marque de sport pourrait profiter de l’occasion pour recommander un nouvel équipement. S’ils sont au centre commercial, votre chaîne de cafés pourrait leur envoyer un coupon à consommer au point de vente le plus proche. 

Des messages plus riches

Il est déjà possible d’intégrer des contenus multimédias dans les notifications push, mais la plupart des entreprises ont jusqu’à présent joué la carte de la sécurité en s’en tenant à du texte et à un emoji occasionnel. Mais comme de plus en plus d’entreprises s’intéressent au potentiel d’engagement des images et des vidéos – en les adaptant aux intérêts des utilisateurs – on peut s’attendre à ce que les notifications push deviennent de plus en plus interactives.

Mises à jour de l’iOS 16

Apple a confirmé qu’il prendrait enfin en charge les notifications push sur son navigateur Safari en 2023, après les avoir interdites pendant des années. Quand on sait que Safari est le deuxième navigateur le plus populaire au monde, on peut dire que l’enjeu des notifications push est énorme.

Cette mise à jour aligne iOS sur les fonctionnalités d’Android, ce qui constitue une excellente nouvelle pour les entreprises axées sur le web. Cela signifie que les entreprises qui préfèrent dialoguer avec les utilisateurs via le web plutôt que via une application (peut-être parce que leur public préfère ce moyen aussi, ou pour des raisons budgétaires) peuvent bénéficier d’un canal de communication rapide et efficace qui permet d’atteindre les utilisateurs là où ils se trouvent. 

FAQ

Quels sont les exemples de notifications push ?

Parmi les exemples de notifications push, on peut citer les alertes temporelles pour les promo, les rappels pour les activités quotidiennes, les messages déclenchés en fonction du comportement de l’utilisateur, les mises à jour transactionnelles sur l’état des commandes, les paniers abandonnés et les notifications enrichies avec des éléments multimédias pour améliorer l’engagement.

En quoi les notifications push diffèrent-elles des messages SMS ?

Les notifications push ne sont envoyées qu’aux utilisateurs qui ont installé une application, tandis que les SMS peuvent être envoyés à n’importe qui (dans les deux cas, l’utilisateur doit avoir opté pour cette option). Alors que les notifications push ont tendance à être promotionnelles, les messages SMS transmettent généralement des informations urgentes ou transactionnelles.

En quoi les notifications push diffèrent-elles des notifications in-app ?

Les notifications push peuvent être reçues à tout moment et sont idéales pour réengager les utilisateurs inactifs. Les notifications in-app s’adressent aux utilisateurs déjà actifs dans l’application et les guident vers des actions spécifiques.

Quels sont les principaux avantages de l’utilisation des notifications push ?

Les notifications push vous permettent d’atteindre les utilisateurs à tout moment, d’améliorer l’engagement et la fidélisation, de stimuler les conversions, d’augmenter le trafic et de créer des opportunités de monétisation grâce à une communication directe avec les utilisateurs.

Comment fonctionnent les notifications push ?

Les notifications push impliquent qu’un éditeur d’application s’enregistre auprès d’un service de notification push du système d’exploitation (OSPNS), ce qui permet ensuite à l’application de communiquer avec les utilisateurs ayant opté pour ce service par le biais d’identifiants uniques, ce qui permet d’envoyer des messages ciblés.

Quelles sont les bonnes pratiques en matière de notifications push ?

Pour que les notifications push soient efficaces, il faut un contenu convaincant et concis, des messages personnalisés, des processus d’acceptation et de refus optimisés, des liens profonds pour faciliter la navigation et des tests sur différents appareils pour un affichage optimal.

Quelles sont les erreurs à éviter avec les notifications push ?

Vous devez éviter de submerger les utilisateurs avec des notifications push ou d’envoyer des messages qui ne sont pas personnalisés. D’autres erreurs courantes consistent à négliger les possibilités d’intégration, à distribuer manuellement des messages sans stratégie et à ne pas mesurer l’impact des notifications.

Points clés à retenir

  • Les notifications push sont des messages courts envoyés par les éditeurs d’applications directement sur les appareils mobiles des utilisateurs. Les utilisateurs n’ont pas besoin d’utiliser activement l’application ou leur téléphone pour les recevoir.
  • Les notifications push aident les marques à transmettre des informations importantes de manière efficace et rapide.
  • Les utilisateurs peuvent choisir d’accepter ou de refuser les notifications push. Pour encourager les utilisateurs à accepter de recevoir des messages, il faut être clair sur les avantages et transparent sur l’utilisation des données. 
  • Les notifications push peuvent être utilisées sur les téléphones mobiles, le web, les ordinateurs de bureau ou les appareils connectés. Elles sont couramment utilisées pour susciter l’intérêt des utilisateurs, les inciter à agir et créer une expérience client harmonieuse. 
  • L’un des principaux avantages des notifications push est qu’elles permettent d’atteindre et d’impliquer les utilisateurs où qu’ils se trouvent. Elles peuvent vous aider à générer du trafic, à augmenter les conversions et à monétiser votre application. 
  • Les meilleures notifications push sont convaincantes, mais brèves, et adaptées à l’audience. L’intégration de la preuve sociale et des liens profonds, l’optimisation pour différents appareils et l’automatisation des envois favoriseront également votre réussite. 
  • Méfiez-vous des notifications push trop nombreuses ou non personnalisées. N’oubliez pas de mesurer les bons indicateurs de performance, tels que le taux d’inscription, le taux de visualisation, le taux de clics, le chiffre d’affaires et le taux de désinscription. 
  • À l’avenir, nous nous attendons à ce que les notifications push deviennent encore plus populaires, grâce à l’IA, à la géolocalisation et au média enrichi qui permettront de personnaliser davantage l’expérience utilisateur. 

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AVOD https://www.appsflyer.com/fr/glossary/avod/ Thu, 09 May 2024 18:10:00 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/avod-video-a-la-demande-avec-publicite/ Qu’est-ce que l’AVOD (vidéo à la demande avec publicité)? Modèle de monétisation utilisé par plusieurs grandes plateformes de vidéo à la demande, l’AVOD offre aux spectateurs un accès gratuit et illimité au contenu vidéo de la plateforme.  Au lieu de faire payer les téléspectateurs pour regarder le contenu, cette stratégie vise à exploiter les vastes […]

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L’AVOD (vidéo à la demande avec publicité) est une stratégie de monétisation utilisée par les plateformes de vidéo à la demande (VOD). Elle offre aux utilisateurs un accès gratuit à des contenus à la demande, en échange de la diffusion de publicités. Cela génère des revenus publicitaires qui compensent les coûts de production et d’hébergement.

Qu’est-ce que l’AVOD (vidéo à la demande avec publicité)?

AVOD (vidéo à la demande basée sur la publicité)

Modèle de monétisation utilisé par plusieurs grandes plateformes de vidéo à la demande, l’AVOD offre aux spectateurs un accès gratuit et illimité au contenu vidéo de la plateforme. 

Au lieu de faire payer les téléspectateurs pour regarder le contenu, cette stratégie vise à exploiter les vastes audiences de ces plateformes pour générer des recettes via la publicité. 

La possibilité de regarder leurs vidéos préférées gratuitement est très attrayante pour les utilisateurs, comme en témoignent les centaines de milliers de téléspectateurs qui se pressent sur ces plateformes. Les États-Unis comptaient environ 140 millions d’ utilisateurs AVOD à fin 2023, et devraient compter plus de 170 millions d’utilisateurs d’ici 2026. 

Avant de nous plonger dans les détails techniques, voyons qui est qui dans le monde de l’AVOD et comment ce levier rapporte de l’argent. 

Éditeurs de contenus

Il s’agit des plateformes OTT qui créent ou hébergent du contenu, où les annonceurs paient pour placer leurs publicités. 

Plus le contenu est attrayant pour les téléspectateurs, plus il devient attrayant pour les annonceurs et plus il rapporte aux éditeurs. 

Le fait de donner aux utilisateurs un accès gratuit à un contenu de qualité permet d’augmenter le nombre de vues sur les plateformes de vidéo à la demande.

Annonceurs

Les annonceurs paient les éditeurs pour que leurs publicités figurent dans le contenu vidéo diffusé en continu, ce qui leur permet de faire connaître leur marque et d’encourager la conversion. 

Les annonceurs s’appuient généralement sur les éditeurs pour le ciblage des annonces sur la plateforme. L’accès des éditeurs aux données relatives aux utilisateurs leur permet d’offrir une segmentation précise et un ciblage hautement personnalisé, ce qui se traduit par un meilleur retour sur investissement publicitaire.

Créateurs de contenu

Les plateformes AVOD n’ont pas besoin de produire ou d’acheter du contenu : celui-ci est mis en ligne par une armée de créateurs de contenu indépendants. Tout en développant leur propre marque, ces créateurs bénéficient d’une part des recettes publicitaires et d’éventuelles possibilités de parrainage.

Utilisateurs

Dans le modèle AVOD, les consommateurs finaux sont les téléspectateurs qui accèdent aux plateformes des éditeurs pour regarder leur contenu préféré gratuitement – tout en regardant les publicités qui l’accompagnent. 

Plateformes AVOD

Plateformes AVOD

Les plateformes de vidéo à la demande sont très populaires auprès des utilisateurs, et près d’un internaute sur deux les fréquente aux États-Unis. 

La plateforme AVOD la plus connue est YouTube, le géant de la vidéo qui compte plus de 2,5 milliards d’ utilisateurs actifs. Bien que l’inscription à la plateforme soit gratuite, l’accès au contenu implique de regarder des publicités avant, pendant ou après les vidéos choisies. 

YouTube partage ses recettes publicitaires avec ses créateurs de contenu, ce qui les incite à continuer à créer et à publier des vidéos. 

Parmi les autres plateformes AVOD populaires, citons Hulu et Tubi. Comme YouTube, Hulu propose une formule premium pour les utilisateurs qui préfèrent regarder des contenus sans publicité.

Comment fonctionne l’AVOD ?

Alors, comment les plateformes AVOD font-elles pour que les publicités soient diffusées auprès des utilisateurs ? Deux options sont possibles :

Insertion publicitaire côté client (CSAI)

Cette méthode permet d’insérer des publicités directement dans le lecteur vidéo du spectateur (le client) en temps réel. Les marqueurs publicitaires dans le flux déclenchent une demande de publicité, la vidéo est mise en pause et une publicité pertinente est diffusée sur l’appareil de l’utilisateur avant que la vidéo ne redémarre. L’interaction immédiate donne aux annonceurs un contrôle total et permet un ciblage précis de l’audience.

Insertion publicitaire côté serveur (SSAI)

Avec cette option, les publicités sont placées dans le flux vidéo sur le serveur, puis envoyées sur l’appareil du spectateur. On parle également d’insertion publicitaire dynamique, car les publicités peuvent être adaptées en fonction de la géographie, du comportement, des données démographiques, etc. 

On parle également de “stitching”, car les publicités sont intégrées (“stitched”) directement dans le contenu pour une expérience de visionnage transparente. Un avantage supplémentaire est que les publicités peuvent alors contourner les bloqueurs de publicité, puisqu’elles apparaissent comme faisant partie du contenu. 

Les avantages et les inconvénients de la AVOD

Les utilisateurs bénéficient d’un contenu gratuit, tandis que les annonceurs, les éditeurs et les créateurs gagnent de l’argent – tout le monde y gagne, n’est-ce pas ? Il est vrai que l’AVOD a beaucoup à offrir, mais elle n’est pas exempte de défis. Examinons les principaux avantages et inconvénients de ce modèle.

Advantages

1 – Nombre élevé de téléspectateurs

84 % des utilisateurs déclarent que cela ne les dérange pas de regarder des publicités en échange d’un contenu gratuit. C’est une bonne nouvelle pour les annonceurs et les éditeurs : les recettes du marché de l’AVOD devraient atteindre 41,13 milliards de dollars en 2023, car de plus en plus de téléspectateurs choisissent d’accéder à leur contenu favori de cette manière. 

2 – Faible risque pour les éditeurs

Contrairement aux services par abonnement (Netflix ou Disney+, par exemple), les plateformes AVOD n’ont pas à investir dans la création de contenu ou l’achat de droits. Ils servent plutôt de plateforme où les créateurs de contenu peuvent diffuser leurs vidéos pour atteindre leur public et obtenir une part des revenus de la publicité incorporée dans leur contenu.

3 – Incitations pour les créateurs de contenu

Le fait d’offrir aux créateurs de contenu des incitations financières pour qu’ils diffusent leurs vidéos signifie que la création de nouveaux contenus n’est pas à la charge des plateformes AVOD. Plus les gens regardent un contenu, plus ce contenu génère de vues publicitaires. Cela signifie plus de revenus pour la plateforme et une plus grande part du gâteau pour le créateur de contenu. 

4 – Meilleur ciblage des annonces

Les annonceurs ont de bonnes raisons de se précipiter sur les plateformes AVOD, car elles permettent d’accéder à une base d’utilisateurs large et diversifiée, avec un ciblage personnalisé basé sur les données de l’éditeur. 

5 – Flexibilité

Les éditeurs peuvent choisir parmi différents formats publicitaires (plus d’informations à ce sujet prochainement) et décider à quel moment du flux afficher les publicités. Cela leur permet d’expérimenter plusieurs formats pour obtenir la meilleure expérience utilisateur et le meilleur impact publicitaire. 

Inconvénients

1 – Mauvaise expérience utilisateur

Lorsqu’elles ne sont pas bien faites, les publicités peuvent perturber l’expérience de l’utilisateur, ce qui peut entraîner une baisse de l’audience, voire un désabonnement. Certains utilisateurs peuvent être prêts à payer pour un plan premium sans publicité, mais le véritable secret consiste à choisir le bon moment, les bonnes créations et la bonne fréquence

2 – Défis en matière d’attribution et de mesure

La nature passive du visionnage des vidéos fait qu’il est difficile pour les annonceurs de mesurer l’impact réel de leurs publicités. À moins qu’un utilisateur ne clique sur votre appel à l’action (ce qui est peu probable s’il est en train de regarder quelque chose), vous ne saurez pas s’il est même attentif – il pourrait être en train de consulter son téléphone ou de prendre un en-cas en attendant que sa vidéo initiale reprenne.

3 – Recettes incertaines

Lorsque les annonceurs paient en fonction du nombre d’affichages ou de clics, le revenu réel que reçoit l’éditeur peut varier. Si les publicités peuvent être ignorées, les téléspectateurs risquent de ne pas les regarder, ce qui signifie qu’aucun revenu n’est généré. Par ailleurs, comme indiqué plus haut, les annonceurs pourraient payer pour des “vues” que l’utilisateur n’a pas réellement regardées. Pour les éditeurs, l’ajout d’une option d’abonnement est un moyen de générer un flux de revenus plus régulier. 

AVOD vs SVOD vs TVOD vs PVOD

AVOD vs SVOD vs TVOD vs PVOD

Maintenant que nous avons établi ce qu’est l’AVOD, voyons en quoi elle diffère des autres modèles de monétisation.

SVOD

Abréviation de vidéo à la demande par abonnement, ces plateformes demandent à leurs utilisateurs de payer des frais d’abonnement fixes et réguliers pour accéder au contenu. Les SVOD proposent généralement des contenus de niche et investissent dans la création de contenu, ce qui leur permet de fidéliser leurs utilisateurs. Il s’agit par exemple de Netflix, Amazon Prime Video et Disney+.

TVOD

Les plateformes de vidéo à la demande à l’acte sont similaires aux plateformes AVOD en ce sens que les utilisateurs peuvent s’inscrire gratuitement, mais pour accéder au contenu de la plateforme, ils devront le louer ou l’acheter individuellement. 

Un exemple de service de TVOD serait Apple iTunes.

PVOD

Abréviation de “premium video on demand”, ce modèle est généralement utilisé parallèlement à d’autres modèles de monétisation. Il donne aux utilisateurs un accès exclusif à des contenus inédits en échange d’un abonnement. 

Disney+ a utilisé la PVOD à bon escient avec “Mulan” en 2020 : dans certains pays, le film est sorti en salle presque en même temps qu’il était diffusé (moyennant paiement) sur la PVOD.

Chaînes AVOD vs FAST

Chaînes AVOD vs FAST

La télévision gratuite financée par la publicité (FAST) fonctionne sur le même principe que l’AVOD, en ce sens que les utilisateurs n’ont pas à payer pour accéder au contenu et que la source de revenus est la publicité – mais les similitudes s’arrêtent là.

Les chaînes FAST sont linéaires, comme les chaînes de télévision par câble, et diffusent du contenu à un vaste public avec des pauses publicitaires. Contrairement à l’AVOD, l’utilisateur n’a aucun contrôle sur ce qui est diffusé sur la chaîne. Les plateformes FAST les plus populaires sont Pluto, Tubi et Roku Channel.

Types de publicités AVOD

Nous avons mentionné précédemment que les éditeurs peuvent choisir parmi une gamme de formats pour afficher des publicités sur AVOD. En voici les principaux types :

  • Annonces pré-roll : Elles s’exécutent avant le début de la vidéo choisie, ce qui signifie que les utilisateurs sont engagés et prêts à regarder, sans que leur expérience de visionnage ne soit interrompue. 
  • Annonces mid-roll : Avec les publicités mid-roll, la vidéo choisie est mise en pause à mi-parcours pour afficher la publicité avant que le contenu ne reprenne. On peut comprendre que cela puisse perturber les téléspectateurs. Mais si vous choisissez bien la durée, la fréquence et l’emplacement, les publicités midroll peuvent être efficaces pour atteindre un public déjà captivé. 
  • Annonces post-roll : Apparaissant à la fin du contenu choisi par l’utilisateur, ces publicités présentent un risque élevé de voir les spectateurs s’en détacher ou s’en éloigner – il est donc essentiel d’attirer immédiatement l’attention. 

Vous pouvez également rencontrer les éléments suivants :

  • Annonces publicitaires en Display : Plutôt que d’être attachées à une vidéo, les publicités apparaissent sur la plateforme elle-même. 
  • Bannières publicitaires : Contrairement à d’autres formats qui remplissent l’écran, les bannières peuvent être placées en haut, en bas ou sur le côté d’une vidéo pendant sa lecture. 
  • Annonces interactives : Ces publicités modernes et très engageantes incitent le spectateur à interagir avec elles, par exemple en jouant à un mini jeu ou en répondant à un sondage. 

Éditeurs, l’AVOD est-elle le bon modèle pour vous ?

Vous êtes éditeur et vous cherchez à monétiser votre plateforme OTT ? L’AVOD pourrait être le bon modèle pour vous si : 

  • Vous souhaitez disposer d’un moyen relativement simple d’acquérir de nouveaux utilisateurs, sans avoir à gérer des modèles d’abonnement complexes.
  • Vous cherchez à faire évoluer rapidement votre plateforme et préférez ne pas investir dans la création de contenu.
  • Vous pouvez maintenir une bibliothèque de contenu constamment renouvelée qui s’adresse à un large public, afin de garantir un engagement élevé de la part des utilisateurs et un faible taux de désabonnement.

Comment se lancer dans l’AVOD en tant qu’éditeur ?

Si vous avez conclu que l’AVOD est le modèle qui vous convient, suivez les étapes suivantes pour mettre en place votre plateforme :  

  1. Choisissez un système de gestion de contenu vidéo (CMS) fiable pour héberger et gérer vos vidéos.
  2. Développez votre plateforme OTT à partir de zéro ou investissez dans un constructeur d’applications OTT.
  3. Sélectionnez un réseau de diffusion de contenu fiable pour une diffusion rapide des vidéos aux utilisateurs.
  4. Explorer les différentes options et technologies de monétisation publicitaire. Par exemple, les publicités peuvent être instream (dans une vidéo) ou outstream (apparaissant ailleurs sur la page). Vous pouvez utiliser l’ad podding pour regrouper des annonces. Vous pouvez choisir entre VAST (Video Ad Serving Template) et VPAID (Video Player Ad Interface Definition) pour diffuser vos publicités sur les écrans. 

FAQ

Qu’est-ce que l’AVOD (vidéo à la demande avec publicité)?

AVOD signifie vidéo à la demande basée sur la publicité. Il s’agit d’un modèle de monétisation dans lequel les plateformes vidéo offrent un accès gratuit au contenu et génèrent des revenus grâce à la publicité.

Qui profite de l’écosystème AVOD, et comment ?

L’écosystème AVOD profite aux éditeurs en leur offrant une plateforme de revenus publicitaires, tandis que les utilisateurs bénéficient d’un accès gratuit au contenu. Les annonceurs bénéficient d’un accès à une large audience avec un ciblage précis, et les créateurs de contenu obtiennent un partage des revenus et des possibilités de parrainage.

Quels sont les principaux avantages et défis du modèle AVOD ?

Les avantages de l’AVOD comprennent un nombre élevé de téléspectateurs, un faible risque pour les éditeurs, des incitations pour les créateurs de contenu, un meilleur ciblage des publicités et la flexibilité des formats publicitaires. Cependant, l’AVOD s’accompagne de difficultés telles qu’une expérience utilisateur potentiellement médiocre, la difficulté de mesurer l’impact de la publicité et des revenus incertains en raison du fait que les publicités peuvent être ignorées.

Comment l’AVOD se compare-t-elle à la SVOD, à la TVOD, à la PVOD et aux chaînes FAST ?

Contrairement aux frais d’abonnement de la SVOD, aux frais par contenu de la TVOD et aux frais d’accès anticipé de la PVOD, l’AVOD offre du contenu gratuitement avec un support publicitaire. Les chaînes FAST partagent l’approche gratuite et financée par la publicité de l’AVOD, mais proposent un contenu linéaire et programmé sans contrôle à la demande de la part de l’utilisateur.

Quels sont les types de publicités couramment utilisés sur les plateformes AVOD ?

Les plateformes AVOD utilisent différents formats publicitaires, notamment des publicités pré-roll avant les vidéos, des publicités mid-roll pendant le contenu et des publicités post-roll après les vidéos. Parmi les autres options, citons l’affichage de publicités sur la plateforme, les bannières publicitaires accompagnant la lecture d’une vidéo et les publicités interactives qui impliquent directement les téléspectateurs.

Points clés à retenir

  • L’AVOD est une stratégie de monétisation de la vidéo à la demande, dans le cadre de laquelle la plateforme s’appuie sur les annonceurs pour générer des revenus tandis que les utilisateurs accèdent gratuitement à leur contenu préféré. La plateforme AVOD la plus connue est YouTube. 
  • L’AVOD diffère de la SVOD, de la PVOD et de la TVOD, où les utilisateurs doivent payer pour accéder au contenu à la demande. Les chaînes FAST s’appuient sur les recettes publicitaires, mais elles sont linéaires et l’utilisateur ne peut pas contrôler le contenu. 
  • Les annonces peuvent être placées soit du côté client (la plateforme elle-même), soit du côté serveur. La première peut être ajustée en temps réel, tandis que la seconde intègre les publicités dans la vidéo pour une expérience transparente. 
  • Pour les éditeurs, l’AVOD est un modèle de monétisation flexible et peu risqué. Pour les annonceurs, elle permet d’accéder à une base d’utilisateurs importante, diversifiée et engagée, tout en permettant une segmentation et un ciblage détaillés. De leur côté, les créateurs de contenu reçoivent une part de revenus pour le téléchargement de leur contenu. 
  • Les téléspectateurs apprécient la vidéo à la demande parce qu’elle est gratuite, mais trop de publicités au mauvais moment peuvent nuire à leur expérience. Les annonceurs sont également confrontés à des problèmes de mesure et d’attribution, tandis que les revenus des éditeurs peuvent être imprévisibles en l’absence d’une option d’abonnement. 
  • Les publicités vidéo sur AVOD peuvent être diffusées à différents moments du contenu : pré-roll, mid-roll ou post-roll. Les formats alternatifs comprennent les bannières, les affichages et les publicités interactives. 
  • En tant qu’éditeur, vous devriez envisager de lancer une plateforme AVOD si vous souhaitez la faire évoluer rapidement, si vous ne voulez pas investir dans la création de contenu, si votre contenu s’adresse à un large public et si vous préférez éviter les modèles d’abonnement complexes.
  • Pour vous lancer dans l’AVOD en tant qu’éditeur, vous aurez besoin d’un système de gestion de contenu et d’un réseau de diffusion de contenu fiables. Vous devez également vous demander comment et où vous placerez vos annonces, et via quel système.

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Interstitiels https://www.appsflyer.com/fr/glossary/interstitials/ Fri, 03 May 2024 13:24:01 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/annonces-interstitielles-ou-interstitielles/ Qu’est-ce qu’une publicité interstitielle ? Ces publicités interactives attirent l’attention en remplissant tout l’écran à des moments précis de l’expérience en ligne de l’utilisateur. L’utilisateur peut choisir de fermer l’annonce ou de cliquer sur le CTA de la publicité. Bien que les publicités interstitielles soient le plus souvent associées aux applications mobiles, les interstitielles peuvent […]

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Les publicités interstitielles sont des placements publicitaires en plein écran qui apparaissent lors de pauses naturelles ou de points de transition dans l’expérience de l’utilisateur d’une application ou d’un site web. 

Qu’est-ce qu’une publicité interstitielle ?

Qu'est-ce qu'un interstitiel mobile ?

Ces publicités interactives attirent l’attention en remplissant tout l’écran à des moments précis de l’expérience en ligne de l’utilisateur. L’utilisateur peut choisir de fermer l’annonce ou de cliquer sur le CTA de la publicité.

Bien que les publicités interstitielles soient le plus souvent associées aux applications mobiles, les interstitielles peuvent également être utilisées sur des sites web sur mobile ou desktop. Elles se présentent sous différents formats, notamment statique (pour les images ou le texte) et média enrichi (pour la vidéo). 

Les interstitielles ne doivent pas être confondues avec les pop-up publicitaires. Bien que les deux semblent interrompre l’expérience utilisateurs, les fenêtres publicitaires ne couvrent qu’une petite zone de l’écran, alors que les interstitielles remplissent tout l’écran. Par conséquent, les interstitielles ne devraient être utilisées que lors de pauses naturelles dans l’activité de l’utilisateur. Les bannières publicitaires, quant à elles, sont fixées en haut ou en bas de l’écran, ce qui les rend enclin à la “cécité aux bannières”.

Comment fonctionnent les interstitielles ?

Comme nous l’avons mentionné, les interstitielles apparaissent à des points de transition naturels dans l’expérience d’utilisation d’une application ou d’un site web, par exemple entre différents niveaux d’un jeu. Parce qu’elles remplissent l’écran et qu’elles sont généralement à l’abri des bloqueurs de publicité, elles peuvent être considérées comme intrusives. C’est pourquoi Google impose des pénalités en cas d’utilisation abusive des annonces interstitielles (voir ci-dessous). 

Les publicités interstitielles sont interactives car l’utilisateur peut choisir de s’engager ou non. S’il clique sur l’annonce, il sort de son application ou de son site pour se rendre à la destination choisie par l’annonceur. Ils peuvent également appuyer sur la croix pour arrêter la publicité et poursuivre leur activité. Les publicités statiques peuvent généralement être fermées immédiatement, tandis que les vidéos peuvent exiger de l’utilisateur qu’il les regarde pendant une durée déterminée (généralement cinq secondes). 

Où puis-je trouver des interstitielles ?

Les publicités interstitielles peuvent être utilisées sur différents appareils – examinons-les de plus près.  

Interstitielles pour applications mobiles

Ces types d’interstitielles sont des publicités pleine page diffusées pendant la navigation dans l’application mobile. Elles s’affichent aux points de transition naturels de l’application, comme le lancement, le chargement d’un niveau de jeu ou le pré-roll d’une vidéo.

Ces publicités sont idéales pour les annonceurs de marques : elles sont très attrayantes et impossibles à ignorer. Et, comme nous le savons, stimuler l’engagement des utilisateurs est un moyen infaillible de garantir plus de clics et de conversions.

Interstitielles pour sites web mobiles

Tout comme les interstitielles d’applications, il s’agit d’annonces pleine page. La différence est qu’elles sont affichées entre les pages vues sur un site web mobile, ce qui aide les éditeurs à monétiser leurs pages web. 

Les interstitielles pour le web mobile ne peuvent pas être affichées dès l’arrivée d’un utilisateur sur votre site. Elles sont activées lorsque l’utilisateur navigue entre certaines pages. La fréquence des interstitielles est limitée afin de préserver l’expérience utilisateur. Cela signifie que certains types de sites mobiles – comme les sites à page unique ou à défilement infini – ne sont pas adaptés aux interstitielles. 

Interstitielles sur desktop

Les interstitielles sur desktop fonctionnent de la même manière que les interstitielles mobiles, en apparaissant entre les pages vues sur un site web sur desktop, et sont soumises à des restrictions similaires. Ces interstitielles sont moins populaires que leurs homologues sur mobile : s’ils sont lucratifs pour les éditeurs, ils sont plus intrusifs pour les utilisateurs et risquent de ne pas recueillir suffisamment de vues pour être rentables pour les annonceurs.

Quels sont les avantages des annonces interstitielles ? 

Les publicités interstitielles sont populaires auprès des annonceurs et des éditeurs – voici pourquoi. 

Avantages pour les annonceurs

  • Bonne visibilité : Il n’y a pas de risque de cécité de la bannière avec une pub interstitielle – vous ne pouvez pas la manquer. L’approche plein écran permet aux annonceurs de disposer de beaucoup d’espace pour faire passer leur message, même sur un petit écran de téléphone. 
  • Engagement élevé : Bien programmées et ciblées, les annonces interstitielles sont une occasion en or d’attirer l’attention de votre public. C’est pourquoi ces publicités obtiennent un score élevé en termes d’impressions et d’engagements. 
  • Taux de clics élevé (CTR): Une audience engagée est plus susceptible de cliquer, ce qui vous rapproche d’une conversion. 
  • elles permettent de toucher une audience extrêmement large Les interstitielles ne se limitant pas aux applications, vous pouvez communiquer avec des audiences sur différents appareils.
  • Flexibilité créative : La pluralité des formats vous permet de raconter votre histoire de la manière la plus attrayante et la plus efficace, que ce soit par le biais de mots, d’images, de vidéos ou même d’un jeu interactif.  

Avantages pour les éditeurs

Les avantages listés ci-dessus s’appliquent également aux éditeurs (propriétaires d’applications ou de sites web). En effet, ils contribuent tous à l’augmentation des recettes. 

Les annonceurs sont prêts à payer pour ce niveau de portée et d’engagement, tandis que le plafonnement de la fréquence donne aux éditeurs un haut niveau de contrôle sur qui voit quelles publicités et quand. Cela signifie que les éditeurs peuvent facturer une prime pour leur inventaire et atteindre un eCPM sain. 

Pénalité par Google à l’encontre des interstitielles intrusives

Pénalité par Google à l’encontre des interstitielles intrusives

Si les publicités interstitielles semblent être la solution idéale pour les annonceurs et les éditeurs qui cherchent à augmenter leurs revenus, l’expérience n’est pas toujours très positive pour les utilisateurs. Il ne fait aucun doute que ces publicités peuvent être intrusives, et c’est pourquoi Google a introduit des règles pour minimiser la frustration des utilisateurs. 

Les marques et les éditeurs doivent se conformer aux règles de Google visant à protéger les utilisateurs de la publicité intrusive en ligne. Ceux qui ne le font pas s’exposent à des sanctions financières et risquent de voir le classement de leur site web rétrogradé.

Les éléments suivants ne sont pas autorisés dans le règlement établi par Google au sujet des interstitielles :

  • Interstitielles diffusées sur la page de chargement ou de sortie de votre site
  • Interstitielles apparaissant à chaque pause utilisateur
  • Les interstitielles qui couvrent l’intention de recherche d’une page pendant que l’utilisateur navigue.
  • Les interstitielles qui interrompent inopinément l’utilisateur au milieu d’une tâche, ce qui peut entraîner des clics accidentels.
  • Une interstitielle autonome qui exige que l’utilisateur rejette la publicité avant d’accéder au contenu principal.

Il existe quelques exceptions : les interstitielles sont autorisées en cas d’obligations légales, comme l’utilisation de cookies ou la vérification de l’âge, et lorsqu’il s’agit de passer à une autre page qui ne peut être trouvée par le biais d’une recherche Google (en traversant un paywall, par exemple).

Bonnes pratiques en matière d’interstitielles

Avant de mettre en place des publicités interstitielles sur votre application ou votre site, tenez compte des bonnes pratiques suivantes pour tirer le meilleur parti de votre campagne :

Maîtriser l’emplacement – Placement des annonces

Placement d'interstitielles mobiles

Le moment et l’endroit où vous placez votre publicité sont cruciaux. Utilisez les tests A/B pour vous assurer que vos publicités soient placées à des moments de pause naturels dans votre application ou sur votre site. 

Par exemple, dans une application de jeu, les publicités doivent être placées à la fin d’un niveau terminé. Pour un site mobile d’actualités, vous pouvez placer des interstitiels entre les articles.

La meilleure pratique consiste toujours à placer des annonces après que l’utilisateur a interagi avec votre site, plutôt que d’interrompre son flux à un moment crucial (une mise en garde de Google). 

Ne soyez pas ennuyeux – Fréquence des annonces

Il ne s’agit pas seulement de savoir où vous diffusez des publicités interstitielles, mais aussi à quelle fréquence. Ne placez pas d’annonces à chaque pause – non seulement cela serait ennuyeux pour les utilisateurs, mais cela enfreindrait les règles de Google décrites ci-dessus. Les tests A/B peuvent vous aider à trouver la fréquence qui continuera d’intéresser et de ravir les utilisateurs, ce qui stimulera l’engagement et la fidélisation

Interstitielles intrusives sur mobile

Ne prenez pas les utilisateurs en otage – Conception publicitaire

Bien qu’il soit tentant de garder tous les yeux rivés sur votre publicité, n’oubliez pas que les utilisateurs n’ont pas choisi de la voir – et qu’il est important de leur offrir une porte de sortie s’ils le souhaitent. Pour redonner un peu de contrôle aux utilisateurs, ne les obligez pas à regarder de longues vidéos ou à chercher un X caché pour sortir.

FAQ

Qu’est-ce qu’une publicité interstitielle ?

Les publicités interstitielles sont des publicités en plein écran qui apparaissent à des points de transition naturels dans l’expérience en ligne de l’utilisateur. Elles sont interactives, donnant aux utilisateurs le choix de fermer la publicité ou de cliquer pour atteindre la destination de l’annonceur.

En quoi les publicités interstitielles diffèrent-elles des pop-up ?

Contrairement aux fenêtres publicitaires, qui ne couvrent qu’une petite partie de l’écran, les publicités interstitielles remplissent tout l’écran, ce qui les rend plus visibles mais aussi potentiellement plus intrusives si elles ne sont pas utilisées correctement.

Où peut-on utiliser les annonces interstitielles ?

Les publicités interstitielles peuvent être utilisées dans les applications mobiles, les sites web sur mobile et sur desktop. Toutefois, leur style potentiellement intrusif signifie qu’elles ne devraient apparaître que lors de pauses ou de transitions naturelles dans l’activité de l’utilisateur.

Quels sont les avantages de l’utilisation des publicités interstitielles pour les annonceurs ?

Les annonces interstitielles offrent une visibilité, un engagement et des taux de clics élevés, ainsi qu’une large portée et une grande flexibilité créative sur différents appareils.

Quels avantages les éditeurs tirent-ils des publicités interstitielles ?

Les éditeurs bénéficient des annonces interstitielles grâce à des revenus plus élevés, une tarification d’inventaire premium et une fréquence publicitaire contrôlée, améliorant à la fois l’expérience utilisateur et la rentabilité.

Qu’est-ce que la pénalité interstitielle intrusive de Google ?

Google impose des pénalités aux sites web qui abusent des annonces interstitielles, par exemple en les affichant à des moments inopportuns ou en couvrant un contenu principal, afin de protéger les utilisateurs contre les expériences publicitaires intrusives.

Quelles sont les meilleures pratiques en matière d’utilisation des publicités interstitielles ?

Les meilleures pratiques consistent à ne placer les interstitiels que lors des pauses naturelles de l’utilisateur, à ne pas les utiliser trop fréquemment et à concevoir des publicités avec des options de sortie claires afin de maintenir un équilibre entre l’engagement et l’expérience de l’utilisateur.

Points clés à retenir

  • Les interstitielles sont des placements publicitaires interactifs en plein écran qui sont diffusés à des points naturels du parcours de l’utilisateur dans une application, un site web mobile ou un site de bureau.  
  • Les annonces interstitielles peuvent être statiques ou en texte enrichi, ce qui permet de laisser libre cours à la créativité. Leur taille et leur emplacement en plein écran génèrent des taux d’engagement et de clics élevés pour les annonceurs, ce qui se traduit par une augmentation des revenus pour les éditeurs. 
  • Il est essentiel de respecter les règles de Google en matière d’annonces interstitielles afin d’éviter de frustrer les utilisateurs et d’encourir des sanctions. Il s’agit notamment de s’assurer que les publicités ne sont pas trop fréquentes ou intrusives. 
  • L’emplacement et la fréquence sont essentiels pour les publicités interstitielles, et les tests A/B sont le meilleur moyen de s’assurer qu’elles sont diffusées au bon endroit et au bon moment. Veillez à ne pas interrompre le flux des utilisateurs et faites en sorte qu’ils puissent facilement quitter la publicité lorsqu’ils le souhaitent.

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View-through-rate (VTR) https://www.appsflyer.com/fr/glossary/view-through-rate/ Wed, 01 May 2024 15:46:03 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/taux-de-visionnage-publicitaire-vtr/ Qu’est-ce que le view-through-rate, le taux de visionnage publicitaire Placer des publicités vidéo sur des plateformes de streaming comme YouTube et Hulu est un moyen courant de capter l’attention des utilisateurs et de promouvoir des produits ou des services. Le taux de visionnage publicitaire (VTR) mesure l’efficacité de ces publicités en suivant le pourcentage de […]

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l'audience en contact avec une annonce publicitaire

Le taux de visionnage publicitaire (VTR) mesure le pourcentage de personnes qui ont regardé une publicité vidéo jusqu’à la fin, ce qui permet aux spécialistes du marketing de suivre l’efficacité de leur publicité.

Qu’est-ce que le view-through-rate, le taux de visionnage publicitaire

Placer des publicités vidéo sur des plateformes de streaming comme YouTube et Hulu est un moyen courant de capter l’attention des utilisateurs et de promouvoir des produits ou des services. Le taux de visionnage publicitaire (VTR) mesure l’efficacité de ces publicités en suivant le pourcentage de personnes qui ont regardé la publicité du début à la fin. 

Les statistiques de suivi des performances des publicités vidéo comprennent le nombre de vues et d’impressions (c’est-à-dire le nombre de personnes exposées à la vidéo). Cependant, ces chiffres ne peuvent pas déterminer la durée de la vidéo publicitaire que les gens visionnent de façon effective ou si ils ont en fait attendu la fin de la vidéo ou même si ils ont vu votre appel à l’action (CTA).  

Pour bien comprendre l’efficacité d’une publicité vidéo, vous devez également piloter le VTR, qui divise le nombre d’internautes qui ont regardé l’intégralité de la publicité vidéo par le nombre total d’impressions.

Ce pourcentage peut montrer l’efficacité d’une publicité, donner des informations sur les taux d’abandon et aider à inspirer de nouvelles et meilleures publicités.

Comment fonctionne le taux de visionnage publicitaire (VTR)?

Le taux de visionnage publicitaire (VTR) ne s’applique généralement qu’aux annonces désactivables. 

Les publicités non désactivables ont naturellement un VTR beaucoup plus proche de 100 %, car les utilisateurs doivent regarder les publicités intégralement afin de pouvoir continuer à visionner leur contenu. 

La seule chose qui pourrait réduire le VTR sur les publicités non désactivables est si les utilisateurs arrêtent de regarder la vidéo originale. Mais même dans ce cas, le VTR sera toujours très élevé. Dans ce contexte, on ne pourra se fier à la valeur élevée de cet indicateur. Vous pouvez toujours suivre le taux de visionnage publicitaire (VTR) sur les publicités non désactivables, mais il n’affichera pas l’efficacité des pubs comme c’est le cas pour les publicités que les internautes choisissent de regarder ou d’ignorer. 

Si vous lancez des publicités vidéo désactivables, le taux de visionnage publicitaire (VTR) peut fournir les informations nécessaires sur les premières impressions des utilisateurs. Par exemple, un taux faible peut indiquer que la vidéo n’a pas suffisamment capté l’attention du public pour qu’il continue à la regarder.

Cela dit, le taux de visionnage publicitaire (VTR) seul n’offre pas toujours une vision d’ensemble de l’efficacité de la publicité vidéo. Si un internaute clique sur votre site avant d’avoir terminé l’intégralité de l’annonce vidéo, sa vue ne sera pas prise en compte dans le VTR, même si votre annonce a fait son travail. 

Pour contrer cette problématique et obtenir un aperçu plus complet de l’efficacité de votre publicité, vous pouvez mesurer le VTR pour certaines parties de votre vidéo. Par exemple, vous pouvez consulter le taux de visionnage publicitaire (VTR) pour 25%, 50% et 75% de votre annonce pour savoir quand les internautes choisissent d’ignorer la vidéo. 

Si la plupart des spectateurs sortent avant d’atteindre l’appel à l’action (CTA), vous devriez peut-être rendre le contenu de la vidéo plus attrayant ou intégrer votre CTA plus tôt dans la vidéo.

Tout ce suivi est possible grâce à un code intégré dans le lecteur vidéo de la publicité qui mesure jusqu’à quel moment chaque spectateur regarde une publicité. Vous pouvez également ajouter d’autres codes, appelés « cookies », pour suivre le comportement des spectateurs une fois la publicité terminée et voir s’ils visitent le site web de votre marque. 

Afficher la formule du VTR

Pour calculer le VTR, utiliser la formule suivante :

VTR = (Nombre total de vues terminées / Nombre total d’impressions mesurées) x 100

formule de calcul du VTR

Supposons qu’une publicité vidéo apparaisse sur les écrans de 1 000 utilisateurs, que ce soit sur les plateformes de streaming ou sur les réseaux sociaux, et que seuls 10 utilisateurs regardent la vidéo en entier. Il y a 10 vues terminées (visionnage intégral de la pub) sur les 1 000 impressions, ou sur le nombre d’utilisateurs exposés à ce contenu vidéo. Si vous mettez ces données dans la formule de calcul du VTR, ce serait comme suit :

  • VTR = (10)/(1000) x 100
  • VTR = 0,01 x 100
  • VTR = 1%

Établir des points de référence : Comment améliorer votre taux de visionnage publicitaire ?

Un taux de visionnage plus élevé signifie-t-il une publicité vidéo plus réussie ? Pas forcément. Un VTR de 15 % équivaut généralement à une publicité vidéo réussie, mais tout le monde ne devrait pas viser aussi haut. 

Tenez compte de l’objectif final de votre publicité vidéo et du produit ou service dont vous faites la promotion. Par exemple, un taux de visionnage (VTR) faible peut toujours être bon pour une vidéo utilisée pour faire la publicité d’un article à prix élevé, car quelques ventes peuvent suffire à rentabiliser le coût de production de la vidéo. 

Avant de créer un plan pour améliorer votre VTR, tenez compte de ces autres facteurs qui peuvent l’affecter :

  • Où une publicité vidéo apparaît (sur quelles plateformes et vidéos)? 
  • Les données démographiques des téléspectateurs ciblés
  • Le titre et la vignette (thumbnail) de la vidéo
  • Le style, le ton et le sujet de la vidéo 
  • La durée de la vidéo

Comment améliorer votre taux de visionnage publicitaire ?

L’une des méthodes pour améliorer votre taux de visionnage publicitaire consiste à repenser l’endroit où votre annonce est diffusée. Un taux de visionnage publicitaire faible peut indiquer que l’audience actuelle de la vidéo n’est pas en résonance avec votre contenu. Vous pouvez mener des études démographiques pour identifier votre public cible et diffuser votre publicité vidéo auprès des spectateurs les plus susceptibles de trouver un écho auprès de votre contenu.

De plus, les vidéos de plus de deux minutes sont beaucoup plus susceptibles d’avoir un taux de visionnage publicitaire plus court, car les spectateurs sont distraits ou désintéressés pendant une vidéo plus longue. En fait, les vidéos plus courtes sont souvent plus performantes que les vidéos plus longues. Pensez à limiter la durée de vos annonces à moins d’une minute, voire à moins de 30 secondes. 

Les recherches suggèrent que les marques n’ont que huit secondes pour capter l’attention des téléspectateurs. Si l’audience ne voit pas ou n’entend pas quelque chose qui suscite son intérêt dans les huit premières secondes d’une vidéo, elle est plus susceptible de cliquer ailleurs. 

Non seulement les dix premières secondes doivent être intéressantes, mais elles doivent également être de haute qualité. Une vidéo de mauvaise qualité ou qui se charge lentement peut entraîner une perte d’intérêt de personnes exposées à la publicité, ce qui réduit le VTR de la vidéo.

Quelle est la différence entre le taux de visionnage publicitaire (VTR) et le taux d’achèvement vidéo (VCR)?

Le taux d’achèvement d’une vidéo (VCR) est le pourcentage de spectateurs qui regardent une vidéo jusqu’à la fin ou jusqu’à un point prédéterminé. 

Le VTR et le VCR suivent tous deux la même mesure, et les marques peuvent les utiliser de manière interchangeable. Néanmoins, pour éviter toute confusion, c’est une bonne idée de choisir un VTR ou un VCR et de s’en tenir au terme que vous avez choisi pour mesurer les vues.

Qu’en est-il du VTR et du CTR ?

Différence entre le CTR (taux de clics) par rapport au VTR

Le taux de clics (CTR) est le pourcentage de personnes qui cliquent sur une publicité, une vidéo, un e-mail ou un lien, par rapport à toutes les personnes qui y sont exposées. 

Bien que le VTR mesure le nombre de vues de la vidéo terminée, il ne suit pas l’efficacité d’une annonce vidéo au-delà, tandis que le CTR indique le nombre de personnes qui sont passées de la vidéo à votre page de destination ou à votre site Web. 

Étant donné qu’ils mesurent des indicateurs différents, vous pouvez utiliser le VTR et le CTR ensemble pour mesurer l’efficacité globale d’une publicité vidéo. Par exemple, si le VTR est faible alors que le CTR est élevé, l’annonce est réussie. Cependant, si une annonce a un VTR élevé associé à un faible CTR, la vidéo peut ne pas être aussi efficace pour générer des ventes.

Points clés à retenir

  • Le taux de visionnage publicitaire (VTR) mesure le nombre de personnes qui a regardé l’intégralité d’une publicité vidéo, divisé par le nombre d’impressions, c’est-à-dire le nombre de personnes exposées à cette même vidéo. Multipliez ce nombre par 100 pour obtenir un taux (en pourcentage donc).
  • Le code intégré à la vidéo permet aux entreprises de mesurer le nombre de vues d’une vidéo et le moment où les spectateurs cliquent ailleurs.
  • Un bon VTR varie en fonction de plusieurs facteurs, notamment la longueur de la vidéo, l’endroit où elle apparaît, son style et son ton. 
  • Vous pouvez utiliser le VTR et le VCR de manière interchangeable pour suivre l’efficacité d’une vidéo en fonction du nombre de personnes qui ont visionné l’intégralité de l’annonce.
  • Le VTR et le CTR mesurent tous deux les performances d’une publicité vidéo. Cependant, le CTR mesure le pourcentage d’utilisateurs qui a cliqué sur le site Web ou la page de destination de l’entreprise après avoir vu l’annonce.

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Earned media https://www.appsflyer.com/fr/glossary/earned-media/ Wed, 01 May 2024 12:56:13 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/les-medias-gagnes-earned-media/ Earned media : définition Les earned media, également connus sous le nom de contenu gagné, font référence à la reconnaissance de votre marque et à la couverture que celle-ci reçoit de la part de sources tierces. Les clients laissent des avis et des recommandations, partagent votre contenu, mentionnent votre marque, repartagent vos publications, et bien […]

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Les earned media font référence à l’exposition de la marque ou à la publicité obtenue grâce à des efforts promotionnels organiques. Les marques ne paient pas pour ce contenu et n’en ont pas le contrôle direct.

Earned media : définition

exemples de médias gagnés

Les earned media, également connus sous le nom de contenu gagné, font référence à la reconnaissance de votre marque et à la couverture que celle-ci reçoit de la part de sources tierces. Les clients laissent des avis et des recommandations, partagent votre contenu, mentionnent votre marque, repartagent vos publications, et bien plus encore – tout cela parce qu’ils apprécient ce que vous faites. 

Ce type d’exposition n’est pas payé ou contrôlé directement par votre marque. Il s’agit plutôt du buzz organique qui se crée autour de vos offres, de vos événements et de vos produits. Vous verrez votre marque apparaître naturellement dans des vidéos, des images et d’autres exemples populaires, ce qui prouve à quel point les utilisateurs sont attachés à ce que vous offrez.

Aujourd’hui, grâce à la puissance du marketing des réseaux sociaux et des relations publiques en ligne, les marketeurs positionnent stratégiquement leurs marques afin d’atteindre et d’engager plus efficacement leurs utilisateurs potentiels à travers les earned media.

Earned media vs médias propriétaires vs médias payants

Avant de nous intéresser aux différences, définissons les termes “médias propriétaires” et “médias payants”.

earned media et médias propriétaires
  • Les médias propriétaires (ou propres) sont des propriétés web exclusives sur lesquelles vous avez un contrôle total et qui sont adaptées de manière unique à votre marque. Grâce à cette autonomie totale, vous pouvez créer des contenus attrayants, proposer des stories captivantes et favoriser des interactions significatives avec votre public, ce qui permet d’établir des liens plus profonds.

L’exemple le plus courant d’un media propre est, bien sûr, votre site web. Votre site web est le centre virtuel où l’histoire de votre marque prend vie. Les blogs et médias sociaux jouent également un rôle crucial dans la représentation de l’essence de votre marque.

  • Les médias payants englobent les efforts de marketing payants pour promouvoir votre marque. L’objectif de ces derniers va au-delà des objectifs purs de promotion de la marque. Ils jouent un rôle crucial dans la génération de earned media et dans l’augmentation du trafic vers les médias que vous possédez.

En investissant dans la promotion de contenu, vous pouvez bénéficier d’une visibilité immédiate et d’une exposition plus large. Les plateformes telles que Facebook, Twitter et LinkedIn offrent d’excellentes possibilités de publicité payante, qui peuvent amplifier l’exposition de votre contenu et diriger le trafic vers votre site web. Collaborer avec des influenceurs est une autre tactique efficace. Elle permet à vos produits ou services d’atteindre un public plus large.

Voici un tableau décrivant les différences entre les earned media, médias propriétaires et médias payants : 

DéfinitionL’origine de l’expositionContrôle par la marqueCoût pour la marque
Les earned mediaExposition organique, non-rémunérée, obtenue par le biais de mentions, du bouche-à-oreille, d’avis, etc.Le contenu généré par les utilisateurs et la recommendation des clients, des médias et des personnes influentesPas de contrôle directAucun coût
Les médias propriétaires ou propres (Owned media)Plateformes et canaux digitaux détenus et gérés par la marqueSite web de la marque, blog, réseaux sociauxContrôle totalInvestissement dans la création de contenu, la maintenance du site web, etc.
Les medias payantsEfforts de promotion qui impliquent le paiement d’un espace publicitaire ou d’une mise en avantAnnonces, contenus sponsorisés, partenariats rémunérésContrôle totalCoût direct des placements publicitaires, des parrainages, etc.

Intégration des earned media aux médias payants et propriétaires 

stratégie globale entre earned media, propriétaires et payants

Chaque type de média remplit une fonction distincte dans le cadre d’une stratégie de marketing bien équilibrée. Mais les meilleures campagnes de marketing combinent souvent les trois— earned media, médias propriétaires et médias payants— pour obtenir des résultats optimaux :

  • Maximisation de la portée de la diffusion et de l’impact : L’intégration des trois types de médias vous permet de couvrir un plus grand nombre de points de contact avec le public. Les earned media génèrent du bouche-à-oreille, les médias possédés contrôlent le message de la marque et les médias payés étendent la visibilité à des groupes démographiques ciblés.
  • Une crédibilité et une confiance accrues : L’authenticité des earned media, associée au contenu des médias propres, renforce la crédibilité de la marque. Les médias payants amplifient les expériences positives, favorisant la confiance et la fidélité envers la marque.
  • Optimisation du retour sur investissement (ROI) marketing : En combinant les efforts des médias, vous alignez vos efforts de marketing pour travailler harmonieusement à la réalisation d’objectifs communs. L’activation des earned media et médias propres prépare votre cible aux campagnes payantes, ce qui se traduit par une augmentation des conversions et un meilleur retour sur investissement.

Vous vous demandez comment intégrer de manière transparente vos efforts en matière de earned media, propres et payés ? Voici quelques conseils :

  • Utiliser un message de marque cohérent : Unifiez le message de votre marque sur tous les canaux. Utilisez les médias dont vous êtes propriétaire (comme votre site web et les médias sociaux) pour faire connaître votre voix et vos valeurs uniques, en renforçant votre marque par le biais d’efforts médiatiques earned et payants.
  • Exploiter le contenu généré par les utilisateurs : Amplifiez le contenu généré par les utilisateurs sur les plateformes dont vous êtes propriétaires. Partagez les avis positifs et les témoignages pour renforcer votre crédibilité. Utilisez ensuite ce contenu dans des campagnes payantes pour stimuler l’engagement.
  • Promouvoir de manière croisé votre contenu : Intégrez les types de médias en faisant une promotion croisée du contenu. Partagez la couverture médiatique positive sur les plateformes dont vous êtes propriétaire et envisager de la promouvoir par le biais de canaux payants pour un impact maximal.
  • Travailler avec des personnes influentes : Collaborez avec des influenceurs qui partagent les valeurs de votre marque. Demandez-leur de parler de leurs expériences avec votre marque et de participer à des campagnes payantes pour une meilleure exposition, en comblant le fossé entre les earned media et les médias payants.
  • Mesurer la performance : Utilisez l’analyse des données pour suivre les performances des médias intégrés et optimisez vos stratégies marketing. Mesurez l’impact des earned media, contrôlez l’engagement des médias propriétaires et évaluez le retour sur investissement des médias payants.

Pourquoi les earned media sont-ils importants ?

Les earned media offrent une multitude d’avantages qui peuvent grandement améliorer la présence et la réputation de votre marque. Examinons ces avantages de plus près.

1 – Plus de visibilité pour la marque 

Les mentions positives de votre marque sans promotion payante conduisent souvent à une publicité de bouche-à-oreille et à d’autres formes d’engagement. Il peut s’agir de personnes qui suivent vos comptes sur les réseaux sociaux ou qui manifestent un intérêt plus marqué pour vos produits et services. Même si les earned media ne se traduisent pas immédiatement par des achats directs, ils laissent une impression durable sur les utilisateurs potentiels, ce qui peut conduire à des conversions futures. 

2 – Renforcement de la crédibilité de la marque

Les éloges d’autrui sur votre marque renforcent automatiquement votre crédibilité et créent un climat de confiance avec votre public. Imaginez votre marque présentée dans des publications respectées telles que le New York Times ou le Wall Street Journal – cela renforcera votre réputation et votre crédibilité auprès de ces sources, ce qui consolidera votre position sur le marché et inspirera la confiance des consommateurs dans votre marque.

3 – Augmentation de la fidélité à la marque

Les earned media permettent d’approfondir le lien avec vos clients existants. Lorsque vos clients existants découvrent une couverture positive de votre marque, ils renforcent leur fidélité et leur amour pour vos produits ou services. Ils deviennent ainsi des ambassadeurs enthousiastes et parleront volontiers à leur entourage de leurs expériences incroyables avec votre marque.

4 – Amélioration du classement dans les moteurs de recherche

Les earned media offrent plus que des avantages en termes d’exposition et de réputation ; ils ont également un impact conséquent sur votre classement dans les moteurs de recherche. 

Lorsque vous obtenez des backlinks de sites web crédibles, avec une forte autorité de domaine ou des pages bien positionnées, vos efforts en matière de référencement s’en trouvent considérablement renforcés. Les moteurs de recherche accordent de l’importance aux backlinks provenant de sources réputées, et le fait de les obtenir par le biais d’une couverture médiatique peut influencer positivement le classement de votre site web dans les résultats de recherche.

Exemples de earned media

impact des réseaux sociaux, des mentions et partages, avis clients comme earned media

Examinons ensuite quelques-uns des exemples les plus populaires de earned media.

Commentaires et évaluations des utilisateurs

Les avis clients et les commentaires positifs sur des plateformes telles que Google Play Store ou Apple App Store sont de l’or médiatique gagné. L’appréciation sincère des utilisateurs donne lieu à une promotion précieuse de l’application, ce qui incite d’autres personnes à l’essayer.

Résultats des moteurs de recherche 

Les earned media et le référencement fonctionnent à l’unisson dans le domaine du marketing digital. Le contenu de valeur d’un site web attire l’attention des moteurs de recherche, ce qui peut permettre à votre blog de figurer sur la première page de résultats. La maîtrise des bonnes stratégies de référencement vous permet d’obtenir un placement organique “gratuit”, d’où l’importance d’un contenu pertinent et de haute qualité pour réussir.

Mentions et partages dans les médias sociaux

Lorsque les utilisateurs partagent leurs expériences sur les médias sociaux, cela génère des earned media. Influencées par le comportement de votre marque, la qualité de vos produits et un contenu attrayant, les mentions organiques augmentent la visibilité et attirent de nouveaux utilisateurs. Encourager les utilisateurs à partager leurs expériences par le biais de concours sur les médias sociaux ou de campagnes de contenu généré par les utilisateurs permet d’amplifier encore les earned media.

L’appui des influenceurs

Les influenceurs, en particulier dans le domaine de la technologie ou des applications, fournissent des informations précieuses par le biais d’approbations authentiques. Lorsque des influenceurs, partageant les mêmes idées, font part de leurs expériences positives avec votre produit, leur public le perçoit comme une recommandation authentique. Le résultat final Extension de la diffusion et de la crédibilité.

Couverture médiatique et articles de blog

La couverture d’un produit ou d’une application par des blogs de référence dans la tech, des relais d’information du secteur ou des publications en ligne génère des retombées médiatiques. Les dossiers et les articles traitant des caractéristiques, des avantages ou de l’impact uniques de votre produit ou de votre service permettent de mieux faire connaître votre marque. Envisagez d’entrer en contact avec des journalistes et des blogueurs afin de multiplier les occasions d’asseoir votre autorité sur le marché.

Campagnes de contenu généré par les utilisateurs

Le contenu généré par les utilisateurs, tel que les tutoriels, les vidéos de jeu ou les exemples d’utilisation créative d’une applications, démontre des expériences réelles et encourage une communauté enthousiaste. La reprise et le partage de ce contenu sur vos canaux officiels amplifient encore l’impact des earned media.

Récompenses et prix décernés à votre l’application

Le fait de remporter des prix ou d’être reconnu dans des classements mondiaux donne lieu à des earned media, mettant en évidence l’excellence et l’innovation de votre produit. Cette reconnaissance externe renforce non seulement la crédibilité de la marque, mais attire également l’attention des médias et de nouveaux utilisateurs à la recherche de produits et de services bien notés.

Limites et défis des earned media

Les earned media, bien qu’ils constituent un aspect précieux du marketing, présentent certaines limites. Il s’agit notamment de : 

L’imprévisibilité

Les earned media sont imprévisibles, car vous dépendez de sources tierces pour partager leurs expériences sur votre application. Les critiques négatives ou la couverture médiatique risquent de se propager rapidement et de nuire à la réputation de votre marque. Par exemple, le fait qu’un influenceur de jeu populaire soutienne votre nouvelle application de jeu peut entraîner une augmentation du nombre de téléchargements. Mais un avis négatif peut également nuire à la réputation de votre marque, ce qui en fait une arme à double tranchant.

Temps et efforts

Pour obtenir une couverture de la part de blogueurs ou de journalistes influents, il faut persévérer et mettre en avant la valeur de votre application. Malgré cela, vous ne pouvez pas contrôler le moment ou le contenu de la couverture. L’instauration d’une relation de confiance avec ces parties externes est donc cruciale, mais elle est difficile et prend du temps. Pour les nouvelles marques, cette tâche est d’autant plus ardue qu’elles ne connaissent pas encore le marché et qu’elles doivent se faire une place dans le secteur.

La mesure du ROI

Les earned media renforcent la visibilité et la réputation de la marque, mais il est difficile de les relier directement à des résultats financiers spécifiques en raison de l’absence de mesures précises. Par exemple, la publication d’un article sur votre application de santé dans un blog de premier plan accroît la notoriété et la crédibilité de votre application, mais il est difficile de déterminer l’impact exact sur les téléchargements. Le bouche-à-oreille et d’autres facteurs influencent également les décisions des utilisateurs, de sorte qu’il est difficile d’isoler le seul effet des médias gagnés.

Tactiques et bonnes pratiques en matière de earned media

Construire une réputation de marque positive par le biais des earned media nécessite une approche authentique et centrée sur le client, axée sur l’apport de valeur à votre public et aux parties prenantes de l’industrie. Voici quelques tactiques et bonnes pratiques efficaces pour établir des relations solides avec votre public :

1 – Élaborer une stratégie d’acquisition de médias

Une solide stratégie de earned media permet d’atteindre plus facilement vos objectifs de marketing et de mesurer les résultats. Voici comment vous pouvez en créer un pour votre entreprise :

  1. Fixer des objectifs clairs : Définissez vos objectifs de marketing, qu’il s’agisse de renforcer la notoriété de la marque, de promouvoir un produit ou un service spécifique ou de cibler un nouveau segment de public.
  2. Étudiez votre audience : Identifiez et comprenez votre public cible afin d’adapter votre stratégie de manière efficace.
  3. Analyser les préférences en matière de contenu : Effectuez de simples recherches sur Google pour savoir quel contenu B2B votre public cible préfère. Des outils comme BuzzSumo sont également utiles pour comprendre les préférences des utilisateurs.
  4. Trouver les bons partenaires : Recherchez des publications, des sites d’évaluation, des influenceurs et des sympathisants qui correspondent réellement aux valeurs de votre marque au lieu de recourir à une couverture payante.
  5. Élaborer des présentations personnalisées : Créez des présentations sur-mesure pour les médias et les influenceurs que vous ciblez, en veillant à ce qu’elles correspondent à leurs centres d’intérêt.
  6. Amplifier vos résultats sur les médias sociaux : Une fois que vous avez obtenu une couverture médiatique, maximisez son impact en la partageant sur vos canaux sociaux. Encouragez vos employés, les investisseurs et les parties prenantes à promouvoir également le contenu.

2 – Générer plus de earned media

Prenez des mesures pour générer plus de earned media en vous concentrant sur les ambassadeurs de la marque. Identifiez les fans enthousiastes sur vos canaux sociaux qui s’engagent activement avec votre contenu. Pensez-y : les fans de Facebook qui aiment et partagent fréquemment vos publications, les adeptes de Twitter qui vous retweetent ou les blogueurs qui mentionnent vos produits.

Engagez régulièrement avec ces ambassadeurs de la marque pour cultiver leur fidélité. Montrez votre reconnaissance en les remerciant de leur soutien et envisagez de les récompenser avec des bons de réduction ou de partager leurs messages sur les réseaux sociaux de votre marque. En cultivant ces relations, vous pouvez stimuler vos earned media, car ces défenseurs promeuvent et défendent votre marque de manière authentique.

3 – Favoriser les relations à long terme avec les journalistes et les influenceurs

Pour réussir votre stratégie de earned media, donnez la priorité à l’établissement de liens solides avec les journalistes et les influenceurs. Évitez les demandes génériques et concentrez-vous plutôt sur l’établissement de relations authentiques. Comprenez leurs sujets et leurs publics cibles, et utilisez des outils tels que HARO et Qwoted pour entrer en contact avec des journalistes à la recherche d’expertise.

Favoriser les relations à long terme avec les journalistes et les free-lances - voire capture d'écran de qwoted
Source de l’image : https://www.qwoted.com

Lorsque vous approchez de nouveaux contacts, étudiez soigneusement leurs préférences en matière de contenu et l’engagement de leurs followers, puis élaborez des présentations personnalisées en fonction de ces préférences. Renforcez les partenariats existants avec les influenceurs en s’engageant activement dans leur contenu et en le partageant lorsque c’est pertinent. N’oubliez pas qu’une collaboration à long terme est la clé d’un marketing d’influence B2B efficace, alors investissez dans le développement de ces relations pour un impact durable.

4 – Assister à des conférences et à des salons professionnels

Lors des conférences et des salons professionnels, saisissez l’occasion d’interagir personnellement avec d’autres marques, des blogueurs, des journalistes et des experts du secteur. C’est l’occasion d’élargir votre réseau et d’obtenir des opportunités médiatiques. 

Ces événements sont souvent couverts en temps réel par les réseaux sociaux avec des hashtags uniques pour les participants. S’engager auprès des autres participants en mentionnant leur marque sur les médias sociaux et en recevant des mentions en retour crée un environnement collaboratif. Cette approche peut permettre d’obtenir une couverture médiatique précieuse et d’améliorer considérablement la présence de votre marque.

5 – Tirer parti du marketing expérientiel

Améliorez vos earned media grâce au marketing expérientiel, une approche puissante centrée sur les événements et les expériences partagées avec les clients. Ces événements de marque sont souvent couverts par les médias traditionnels et les plateformes en ligne. 

Pour maximiser cet impact, mettez en place un hashtag spécifique à l’événement et participez activement aux publications des participants par l’intermédiaire de votre gestionnaire de médias sociaux, notamment en les retweetant, en les aimant et en les partageant. N’oubliez pas d’encourager les participants à partager leurs expériences sur leurs propres réseaux sociaux, créant ainsi un effet d’entraînement de promotion organique.

6 – Obtenir plus d’avis positifs sur les produits

Avis positifs sur les produits - capture d'écran de l'App Store d'Apple
Source de l’image : https://apps.apple.com/nz/app/grammarly-keyboard-editor

Les avis positifs sur les produits et les services publiés sur des sites tiers influencent considérablement la perception qu’ont les clients d’une entreprise. Par exemple, 94 % des gens sont plus enclins à utiliser les services d’une entreprise s’ils ont lu de bonnes critiques à son sujet ailleurs.

Voici quelques conseils pratiques pour augmenter le trafic sur votre site web et influencer le comportement des clients en votre faveur grâce aux avis :

  • Restez réaliste : Lorsqu’il s’agit d’avis, l’authenticité est essentielle. Tenez-vous en à l’utilisation des commentaires de vrais clients – les faux noms et les fausses adresses électroniques ne sont pas autorisés !
  • Répandez les bonnes ondes : Ne gardez pas ces excellentes critiques pour vous. Partagez-les sur différentes plateformes telles que les réseaux sociaux, les forums en ligne et les blogs. Cela vous permettra d’atteindre un public plus large et d’instaurer un climat de confiance avec vos clients potentiels.
  • L’édition stratégique : Prenez les choses en main et publiez ces commentaires élogieux sur des plateformes telles qu’Amazon, Facebook, Yelp, TripAdvisor ou même sur votre propre site web. De cette manière, vous pouvez afficher fièrement tous les commentaires positifs tout en contrôlant le contenu.

7 – S’efforcer de générer davantage de recommandations de bouche-à-oreille

Le marketing du bouche-à-oreille est l’une des formes les plus puissantes de earned media, et le plus beau, c’est qu’il se produit de manière organique. Les gens recommanderont votre entreprise sans même que vous le leur demandiez, et une fois que l’étincelle est allumée, elle se répand comme une traînée de poudre. 

Maximiser la publicité de bouche-à-oreille :

  • Se concentrer sur l’instauration de la confiance. Répondez rapidement aux commentaires des clients et montrez que vous vous souciez réellement de leur expérience. Créez de la crédibilité grâce à des réponses rapides contribue grandement à gagner la confiance des clients.
  • Offrir une expérience exceptionnelle aux clients. Un service amical, serviable et réactif crée des impressions durables et établit des relations loyales. Prenez le temps de rendre chaque interaction spéciale et traitez chaque client avec son importance. 
  • Demandez des références. Les personnes qui recommandent déjà vos produits ou services sont vos meilleurs défenseurs. Proposez des incitations telles que des réductions ou des bons de réduction pour alimenter leur enthousiasme et faire en sorte que davantage de personnes parlent positivement de votre marque.

N’oubliez pas que le bouche-à-oreille ne se produit pas du jour au lendemain ; il nécessite un effort et un investissement continus pour construire une réputation positive. Mais au fil du temps, ces efforts sont largement récompensés et votre entreprise prospère car les clients satisfaits deviennent des défenseurs enthousiastes, répandant un bouche-à-oreille positif et renforçant la réputation de votre marque.

8 – Organiser un concours sur les réseaux sociaux

Captez l’intérêt de votre public avec un concours de médias sociaux engageant qui génère de l’excitation et du buzz autour de votre marque. Pour maximiser l’impact, fixez des règles claires et faites correspondre le prix aux intérêts de votre public cible.

Vous pouvez amplifier la visibilité en promouvant vigoureusement le concours sur tous les canaux sociaux. N’hésitez pas à collaborer avec des influenceurs pour augmenter votre portée. Une fois le concours terminé, célébrez les gagnants et leurs contributions sur vos plateformes de médias sociaux afin de créer un effet d’entraînement et d’établir des liens durables avec votre public.

Points clés à retenir

  • Les earned media sont la reconnaissance et la couverture authentiques qu’une marque reçoit de sources tierces, comme les commentaires des utilisateurs, les mentions dans les médias sociaux et les articles dans les médias. Il n’est pas rémunéré et n’est pas directement contrôlé par la marque.
  • En intégrant les earned media, possédés et payés, les marques peuvent maximiser leur portée et leur impact, accroître leur crédibilité et leur confiance, et optimiser leur retour sur investissement (ROI).
  • Les avantages des earned media sont une plus grande exposition de la marque, une meilleure crédibilité de la marque et une plus grande fidélité à la marque. Cependant, cette exposition à la marque peut être imprévisible, prendre du temps et être difficile à mesurer avec précision.
  • La construction d’une réputation de marque positive par le biais des earned media nécessite une approche centrée sur le client. Fixez des objectifs clairs, connaissez votre public et élaborez des présentations personnalisées pour une stratégie efficace.
  • Pour générer davantage de earned media, concentrez-vous sur l’établissement et le maintien de relations avec les ambassadeurs de la marque, les journalistes, les influenceurs et d’autres acteurs du secteur. Un engagement et une appréciation sincères peuvent conduire à une plus grande adhésion à votre marque. 
  • Amplifier les earned media grâce à des tactiques telles que les événements industriels, le marketing expérientiel et les concours sur les réseaux sociaux. Concentrez-vous sur les recommandations de bouche-à-oreille, les avis sur les produits et les expériences exceptionnelles des clients pour renforcer la réputation de votre marque.

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CPCV (coût par vue complétée) https://www.appsflyer.com/fr/glossary/cpcv/ Thu, 25 Apr 2024 14:23:59 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/cout-par-vue-completee-cpcv/ Qu’est-ce que le CPCV ? Le coût par vue complétée (CPCV) est un modèle de tarification publicitaire pour lequel les annonceurs ne paient que lorsque l’utilisateur regarde une publicité vidéo dans son intégralité. Ce modèle permet de cibler des utilisateurs de qualité. Ainsi, le CPCV offre aux annonceurs un coût beaucoup plus maîtrisé. Les annonceurs paient […]

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Coût par vue complétée (CPCV)

Modèle de tarification publicitaire qui représente le coût par vue complétée (CPCV), calculé en divisant le coût de la publicité par le nombre de vues de la vidéo.

Qu’est-ce que le CPCV ?

Le coût par vue complétée (CPCV) est un modèle de tarification publicitaire pour lequel les annonceurs ne paient que lorsque l’utilisateur regarde une publicité vidéo dans son intégralité. Ce modèle permet de cibler des utilisateurs de qualité. Ainsi, le CPCV offre aux annonceurs un coût beaucoup plus maîtrisé. Les annonceurs paient un forfait pour chaque vidéo visionnée jusqu’à la fin. Généralement, cela se produit après qu’une campagne ait atteint certains indicateurs de performance (KPIs). Par exemple, l’un de ces indicateurs peut être le montant minimum de dépenses.

Comment calculer le CPCV ?

La formule pour calculer le CPCV est la suivante :

formule de calcul du CPCV

En fait, vous divisez le coût total de votre campagne publicitaire vidéo par le nombre d’utilisateurs qui ont visionné intégralement la vidéo.

Par exemple, supposons qu’un annonceur dépense 5 000 dollars pour une campagne vidéo qui a donné lieu à 500 vues intégrales. Le CPCV sera calculé comme suit :

CPCV = 5 000 $ / 500

CPCV = 10

Comme pour la plupart des modèles de tarification vidéo, plus le CPCV est bas, plus la vidéo est rentable pour l’annonceur. 

Pourquoi adopter l’indicateur CPCV en publicité vidéo ?

Les modèles de tarification les plus courants pour la publicité vidéo sont le coût par mille impressions (CPM) et le coût par vue (CPV). Toutefois, l’un des plus grands défis pour les annonceurs est l’exactitude de ces indicateurs de performance. 

Les publicités vidéo ont souvent une faible visibilité et les CPM ne permettent pas de mesurer efficacement le succès d’une campagne. A l’inverse du CPM, le modèle de tarification CPCV garantit à l’annonceur de payer pour des utilisateurs de haute qualité. Des utilisateurs qui visionnent intégralement l’annonce publicitaire, ce qui minimise les frais publicitaires potentiellement dépensés en vain. 

Toutes les plateformes publicitaires et les éditeurs ne proposent pas de tarification CPCV. Cela s’explique principalement par les faibles taux de complétion des publicités vidéo sur mobile. En conséquence, le modèle CPCV n’est pas toujours viable pour certains éditeurs et plateformes. La tarification par CPCV améliore pourtant la précision et la confiance entre les annonceurs et les éditeurs.

Les publicités vidéo «non-skippables» sont également une option pour permettre le visionnage intégral d’une publicité vidéo, mais cette pratique pose un risque sur l’expérience utilisateur. Cependant, lorsque les vidéos sont associées à des annonces publicitaires avec récompense à la clé, les plateformes publicitaires et les éditeurs peuvent mieux prédire le succès des campagnes publicitaires vidéo. 

Conseil de pro : Les publicités vidéo avec récompense offrent aux utilisateurs de l’application des récompenses in-app en échange du visionnage intégrale d’une vidéo. 

Il est important d’avoir en tête que la définition du visionnage intégral d’une vidéo diffère d’une plateforme à l’autre. Par exemple, YouTube compte 30 secondes comme un visionnage intégral, tandis que Facebook et Instagram comptent 15 secondes pour les vidéos et 3 secondes pour les stories. 

Et comme tout modèle de tarification publicitaire, rien n’est garanti. A noter qu’une vidéo visionnée intégralement n’est pas un indicateur nécessairement plus efficace qu’un autre indicateur de mesure de performance comme le nombre de clics par exemple. C’est pourquoi les marketeurs doivent toujours tester différentes stratégies de tarification afin de déterminer l’approche la plus adaptée à leur public cible.

Quelle est la différence entre CPCV, CPV et CPM ?

CPCV vs CPV vs CPM

Le coût par vue, ou CPV, est également un modèle de tarification courant pour lequel les annonceurs paient pour une impression vidéo ou une vue vidéo d’une seconde ou plus. De même, le CPM (coût par mille impressions) est également un modèle de tarification courant qui se calcule selon la formule suivante : 

CPM = (dépenses totales de la campagne / nombre total d’impressions) x 1 000

Le CPM cible est souvent déterminé par le marketeur avant de lancer la campagne publicitaire, en fonction des frais annoncés par l’éditeur, de la géographie, des types d’appareils et de la spécificité du ciblage.

En revanche, le CPCV mesure plus efficacement le taux d’engagement réel d’un utilisateur. Le CPV et le CPM, quant à eux, conviennent mieux aux campagnes plus larges en haut de l’entonnoir (awareness) et à moindre coût. Les marketeurs utilisent souvent le CPV et le CPM pour des campagnes de sensibilisation à grande échelle, tandis que le CPCV est idéal pour des campagnes axées sur la performance et les conversions (ventes).

Comment améliorer votre CPCV ?

1. Rotation des annonces : Faire tourner au moins deux ou trois créations publicitaires dans votre enchère afin de réduire la lassitude et de recueillir davantage de données sur les types de vidéos les plus performants.

2. Améliorer votre accroche (le hook): Les cinq premières secondes de chaque publicité vidéo sont cruciales pour attirer l’attention de l’utilisateur. Expérimentez des accroches différentes dans vos tests.

3. Commencer par le CPI (coût par installation), puis optimiser avec le CPCV : Pour trouver le bon public cible, commencez votre campagne en optimisant le coût par installation (CPI). Une fois que vous avez ciblé votre audience, utilisez le CPCV pour développer votre campagne de CPI et générer des revenus récurrents.

4. Utiliser des formats verticaux et carrées pour les mobiles : Diversifiez vos créations vidéo afin d’optimiser les performances en fonction de la taille des appareils. Il peut s’agir des formats suivants : paysage 16:9, vertical 9:16 et carré 1:1.

5. Élargir votre audience : Plus votre annonce est ciblée, plus la concurrence est élevée. Si votre CPCV est trop élevé, élargissez votre audience cible afin d’identifier de nouveaux publics susceptibles d’être plus rentables.

Points clés à retenir

  • Le CPCV est un modèle de tarification publicitaire qui correspond au coût par vue complétée, selon lequel les annonceurs ne paient pour une publicité vidéo que lorsqu’elle n’est regardée dans son intégralité.
  • Le CPCV est calculé en divisant les coûts publicitaires par le nombre de vidéos visionnées intégralement.
  • Les campagnes CPI, CPM et CPV sont des modèles de tarification publicitaire plus larges et plus courants, mais moins efficaces que le CPCV qui lui, mesure l’engagement plus finement.
  • Les meilleurs moyens d’optimiser les campagnes CPCV sont d’utiliser plusieurs formats, d’améliorer les accroches vidéo, d’expérimenter les rotations publicitaires et de s’appuyer sur les campagnes CPI.

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Taux de rétention (retention Rate) https://www.appsflyer.com/fr/glossary/retention-rate/ Sun, 10 Mar 2024 17:25:48 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/retention-rate-2/ Qu’est-ce que le taux de rétention ? Le taux de rétention est le pourcentage de clients qui continuent à utiliser votre service ou votre produit sur une période prédéterminée. Il s’agit d’un indicateur important, en particulier pour les entreprises qui proposent des abonnements, car il indique l’ampleur des recettes de votre entreprise, que vous obteniez […]

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Le taux de rétention mesure le pourcentage de clients ou d’utilisateurs que votre entreprise ou votre produit conserve sur une période donnée.

Qu’est-ce que le taux de rétention ?

Le taux de rétention est le pourcentage de clients qui continuent à utiliser votre service ou votre produit sur une période prédéterminée. Il s’agit d’un indicateur important, en particulier pour les entreprises qui proposent des abonnements, car il indique l’ampleur des recettes de votre entreprise, que vous obteniez ou non de nouveaux clients. 

Taux de rétention par rapport au taux d’attrition

Les entreprises évaluent le contraire de la fidélisation en calculant leur taux de churn – attrition, ou de turnover de la clientèle. 

Le taux de churn correspond au pourcentage de clients que vous perdez au cours d’une période prédéterminée, tandis que le taux de fidélisation correspond au pourcentage de clients qui s’inscrivent et qui restent avec vous. Un taux de churn élevé peut signifier que vous dépensez beaucoup d’argent pour acquérir des utilisateurs mais que vous n’obtenez pas le meilleur retour sur investissement (ROI) possible. 

Taux de rétention par rapport au lifetime value du client

Alors que le taux de rétention mesure le nombre de clients que votre entreprise peut conserver sur une période donnée, la customer lifetime value (CLV) détermine la valeur de ces clients pendant toute la durée de leur relation avec votre activité. Une CLV élevée indique une fidélité à la marque, une bonne adéquation produit-marché et des revenus récurrents provenant des clients existants. 

Pourquoi le taux de rétention est-il important ?

De nombreux analystes et entrepreneurs estiment que la rétention de la clientèle est l’indicateur le plus important pour déterminer le succès d’une entreprise. En voici plusieurs raisons.

Vous aide à comprendre les performances de votre produit ou service

Les taux de rétention peuvent aider à comprendre la performance de votre produit ou service au fil du temps avec chaque client. Un taux de rétention plus élevé est meilleur dans l’ensemble, car les clients qui continuent d’utiliser votre service ou votre produit offrent de plus grandes possibilités de monétisation. 

Savoir aussi pourquoi de nombreux clients cessent d’utiliser vos produits

Déterminer le taux de rétention de votre entreprise peut également vous aider à comprendre pourquoi de nombreux clients cessent d’utiliser vos produits ou services et où vous vous situez à plus grande échelle, au niveau de la performance des produits. 

Ces informations peuvent vous aider à déterminer ce qu’il faut améliorer et comment étendre la CLV de votre entreprise. Par exemple, si vous avez une application de jeu et que vous remarquez que les utilisateurs se désintéressent généralement à la fin de la période d’onboarding, vous avez alors identifié un domaine clé à améliorer.

Aider à analyser le service clientèle

En suivant le taux de rétention, vous pouvez mieux comprendre les performances de votre service clientèle et voir dans quelle mesure il répond aux préoccupations de vos clients. Il peut également vous aider à évaluer dans quelle mesure vous tenez les promesses que vous avez faites à vos clients. 

Déterminer l’efficacité de votre campagne marketing

La fidélisation aide à comprendre l’efficacité de votre campagne marketing et les stratégies qui semblent les plus efficaces pour vos clients potentiels. 

Lorsque les clients restent, vous pouvez investir davantage dans vos efforts marketing actuels. Lorsque les clients se désintéressent, vous pouvez être amené à réévaluer vos campagnes marketing et à y apporter des modifications.

Comment calculer le taux de rétention

Examinons quelques façons de calculer le taux de rétention de la clientèle.

La formule de base

Vous avez besoin de trois éléments d’information pour calculer le taux de rétention de votre entreprise à l’aide de la formule de base :

  • Le nombre de clients au début d’une période définie
  • Le nombre de clients que votre entreprise a acquis au cours de la période
  • Le nombre de clients à la fin de la période

Une fois ces chiffres déterminés, vous pouvez les insérer dans la formule suivante :

Par exemple, supposons que votre application mobile comptait 1 000 utilisateurs au début du premier trimestre et qu’elle en compte 1 200 à la fin du trimestre. Si vous avez gagné 300 nouveaux utilisateurs au cours du premier trimestre, le taux de rétention de votre application sera de 90 %. Voici l’équation :

  • Taux de rétention des clients = [(1,200 – 300) / 1,000] x 100
  • Taux de rétention des clients = (900 / 1000) x 100
  • Taux de rétention des clients = 0.9 x 100
  • Taux de rétention des clients = 90%

Analyse de cohorte

L’analyse de cohorte consiste à diviser un grand groupe de clients ou d’utilisateurs en segments plus petits (appelés cohortes) qui partagent des caractéristiques spécifiques sur une période donnée. Ces caractéristiques peuvent inclure une langue ou une région commune, une date d’acquisition ou des articles préférés, par exemple. 

La réalisation d’une analyse de cohorte ne permet pas d’identifier les causes de variation du taux de rétention. A l’inverse, il vous donne un aperçu des tendances des clients, ce qui vous permet de mieux comprendre pourquoi ils s’engagent ou non avec votre produit ou votre application. 

Il existe deux types d’analyse de cohorte.

Cohortes d’acquisition

L’analyse des cohortes d’acquisition divise les utilisateurs en fonction de la date d’acquisition ou d’inscription au produit. Comme pour toute autre cohorte, l’acquisition – téléchargement d’une application, achat d’un produit ou inscription auprès d’une marque – doit avoir lieu dans un délai défini. 

Supposons que vous soyez un développeur d’applications et que vous souhaitiez mesurer le succès d’une application nouvellement lancée. Vous pouvez diviser le nombre de téléchargements en cohortes pour chaque jour de la semaine de lancement, puis pour chaque semaine du premier mois. 

Ce processus vous permet de déterminer le nombre d’utilisateurs qui continuent à utiliser l’application à partir de leurs points de départ respectifs. Vous pouvez alors voir où le taux de rétention des clients commence à diminuer. 

Est-ce après le premier jour d’utilisation ? La première semaine ? Ou le premier mois ? Vous pouvez alors réduire les problèmes potentiels qui pourraient être à l’origine d’un faible taux de rétention. 

Il est important de noter que les données issues de l’analyse d’acquisition ne fournissent que des statistiques ou des chiffres. Elle ne permet pas de déterminer avec précision les raisons pour lesquelles les clients se détournent de l’offre. C’est là que l’autre type d’analyse de cohorte devient utile. 

Cohortes comportementales

L’analyse des cohortes comportementales regroupe vos clients ou utilisateurs en fonction de la manière dont ils interagissent avec votre produit. Si vous avez une application mobile, par exemple, ces comportements peuvent inclure des installations d’applications, des désinstallations d’applications, des lancements d’applications, des transactions ou une combinaison de ces actions.

Grâce à l’analyse des cohortes comportementales, vous pouvez analyser les comportements communs de vos utilisateurs les plus engagés et trouver les points sensibles de votre application mobile. De même, vous pouvez suivre des cohortes pendant une période donnée afin de déterminer combien de temps elles restent actives après avoir interagi avec la fonction délicate de votre application. 

Par exemple, si vous êtes préoccupé par l’expérience d’onboarding des utilisateurs de votre app, vous pouvez effectuer un A/B test pour proposer différentes expériences d’accueil à divers utilisateurs. Vous pouvez ensuite suivre leur comportement au cours de la première semaine en tant que cohortes distinctes. Cette approche vous permet de comparer les taux de rétention et de découvrir si une option réussit mieux à engager vos utilisateurs. 

Calculer le taux d’achat répété

Votre taux d’achats répétés est l’épine dorsale de la rétention de votre clientèle. Il mesure le pourcentage de clients disposés à effectuer un second achat. 

Déterminer votre taux d’achats répétés est un excellent moyen d’évaluer l’efficacité de votre stratégie de rétention. Plus il est élevé, plus les utilisateurs ou les clients sont disposés à revenir. Un taux d’achat répété élevé confirme que votre produit ou service offre une grande valeur à vos clients.

Un moyen simple de déterminer le taux de ré-achat de votre produit consiste à diviser le nombre de clients ayant effectué plus d’un achat au cours d’une période donnée par le nombre total de clients au cours de cette même période. 

Voici l’équation :

Rétention sur App : le benchmark

Un bon taux de rétention dépend de plusieurs facteurs, notamment de la plateforme et du secteur ou de la catégorie de votre application. Vous voudrez connaître votre taux, car il indique la proportion de personnes qui utilisent encore votre application au cours d’une période donnée après l’avoir installée.

Une étude a révélé que le taux de rétention moyen dans 31 catégories d’applications mobiles était d’environ 25 % le premier jour. Elle tombe ensuite à environ 6 % au 30e jour. Les médias et les services professionnels affichent les taux de rétention les plus élevés (84 %), tandis que les secteurs des voyages, de l’hôtellerie et de la restauration ont les taux les plus bas (55 %). 

Il est important de comprendre les critères de rétention des applications pour s’assurer que votre application reste compétitive sur le marché. Voici les taux moyens de rétention quotidienne des applications (basés sur la rétention au premier et au 30e jour) par plateforme et par catégorie :

Android

  • Livres
    • Jour 1 : 29.43%
    • Jour 30 : 8.11%
  • Business
    •  Jour 1 : 16.09%
    •  Jour 30 : 6.98%
  • Casino – Real Money et paris sportifs
    • Jour 1 : 28.15%
    •  Jour 30 : 28.15%
  • Dating :
    • Jour 1 : 28.30%
    • Jour 30 : 8.78%
  • Enseignement
    • Jour 1 : 13.93%
    • Jour 30 : 2.69%
  • Finance
    • Jour 1 : 16.96%
    • Jour 30 : 9.27%
  • Divertissement
    • Jour 1 : 17.10%
    • Jour 30 : 4.65%

iOS

  • Livres
    • Jour 1 : 21.83%
    • Jour 30 : 7.74%
  • Business
    • Jour 1 : 13.88%
    • Jour 30 : 6.46%
  • Casino – Real Money et paris sportifs
    • Jour 1 : 25.05%
    • Jour 30 : 25.05%
  • Dating :
    • Jour 1 : 28.95%
    • Jour 30 : 7.01%
  • Enseignement
    • Jour 1 : 14.59%
    • Jour 30 : 3.23%
  • Finance
    • Jour 1 : 21.58%
    • Jour 30 : 10.74%
  • Divertissement
    • Jour 1 : 17.83%
    • Jour 30 : 4.42%

Les critères de rétention des applications peuvent vous donner un point de départ pour comprendre où se situe votre application mobile sur le marché. 

À partir de là, il est préférable de suivre votre taux de rétention hebdomadaire, mensuel et annuel et de le comparer à vos performances antérieures. Ce processus vous aide à déterminer les points faibles de votre application et ceux pour lesquels vous disposez d’indices clairs de réussite.

Comment améliorer votre taux de rétention

Améliorer la fidélisation des clients de votre produit n’est pas toujours rapide. Il faut souvent un peu de recherche pour identifier les problèmes qui affectent vos efforts de rétention – et il faut ensuite de la persévérance et de la patience pour apporter les changements nécessaires. 

Voici quelques idées pour vous aider à améliorer le taux de rétention de vos produits et à accroître la réussite globale de votre entreprise :

1. Utiliser les feedback des clients pour identifier les faiblesses et s’améliorer constamment

Taux de rétention - feedback des clients

Lorsqu’il s’agit d’améliorer la rétention des clients, les feedbacks des utilisateurs est absolument essentiel. 

C’est relativement évident, car la façon dont les clients se sentent et perçoivent votre produit détermine en fin de compte s’ils deviendront des clients fidèles. 

Pour obtenir un retour d’information précis de la part des utilisateurs, envisagez de mettre en place des enquêtes de satisfaction ou une barre de commentaires sur votre site web ou votre plateforme. Les clients peuvent donner leur avis sur les raisons pour lesquelles ils utilisent votre produit, ce qu’ils apprécient et ce qu’ils souhaitent voir amélioré. 

Vous pouvez également inclure des sondages lorsque quelqu’un annule un abonnement, ce qui vous permet de connaître les raisons pour lesquelles les utilisateurs quittent le site. 

2. Fixer des attentes réalistes 

Vous voulez faire moins de promesses et plus de résultats. 

Cela signifie qu’il faut faire plus que ce qui est indiqué et aller plus loin pour satisfaire les clients. Cela offre un bon rapport qualité-prix de vos offres, ce que tous les clients souhaitent.

Lorsque vous établissez une relation avec votre client ou votre utilisateur, pensez à l’informer de ce qu’il reçoit et de ce à quoi il peut s’attendre. Vous devez toujours capter leur attention pour conclure la vente, mais ne faites pas trop de promesses. Soyez réaliste et faites de votre mieux pour dépasser les attentes de vos clients. 

Cette approche peut contribuer à créer une fidélité à la marque. Et lorsque vos clients sentent qu’ils peuvent vous faire confiance, ils reviennent.  

3. S’intéresser aux données sur les produits

L’un des moyens de savoir comment les clients réagissent à votre produit ou service est d’examiner leurs données comportementales, qui peuvent montrer quelles sont les caractéristiques de votre produit qui suscitent l’engagement. 

Par exemple, l’analyse des données de votre application de streaming peut révéler que la création d’une liste de lecture au cours de la première semaine d’intégration triple le taux de rétention à 30 jours. Vous pouvez ensuite utiliser des campagnes mail, des messages in-app et d’autres outils disponibles pour amener de nouveaux utilisateurs à la fonction de liste de lecture. 

4. Améliorer l’accueil des utilisateurs

Transformer un nouveau client en défenseur de la marque sur le long terme commence par un onboarding en douceur. Cette première impression peut faire ou défaire votre relation avec vos clients, alors ne laissez rien au hasard. 

L’un des principaux objectifs de l’onboarding est d’aider les utilisateurs à utiliser votre produit ou service le plus rapidement possible. Ce processus évite toute confusion et permet à vos clients de profiter plus rapidement des avantages de votre produit.

Faites donc en sorte que l’onboarding soit le plus court possible. Ne demandez que le minimum d’informations. Par exemple, est-il utile de demander la date d’anniversaire d’un utilisateur dans votre application ? S’il ne contribue pas directement à l’expérience utilisateur, réfléchissez-y à deux fois.

En outre, assurez-vous de fournir des étapes d’onboarding simples à suivre qui capturent l’essence de ce qu’est votre application et démontrent immédiatement sa valeur.

5. Tracez le parcours de votre client

Conseils sur le taux de rétention - parcours client

Une carte du parcours client est une représentation visuelle de l’expérience client avec votre service ou votre produit. Il couvre tous les points de contact des clients avec ce service/produit.

Cet outil visuel met en évidence les motivations des clients, les interactions clés tout au long de leur parcours et les zones de friction existantes ou potentielles du produit, c’est-à-dire tout ce qui limite l’adoption ou la rétention de l’utilisateur. 

En comprenant ces événements, vous pouvez mieux résoudre les problèmes actuels et apporter des améliorations aux produits afin d’améliorer l’expérience clients. Plus les clients sont satisfaits de leur expérience avec votre produit, plus ils sont susceptibles de rester fidèles et de défendre votre marque.

6. Faire en sorte que votre service ou votre produit reste en tête de liste

Vous ne pouvez pas arrêter de faire du marketing auprès d’une personne simplement parce qu’elle est déjà cliente. Sur le marché actuel, où la fidélité est faible et la concurrence élevée, il est essentiel de rester en tête. 

Vous pouvez y parvenir grâce à un certain nombre de stratégies de rétention clients. Parmi les bonnes options, citons l’organisation de concours sur les réseaux sociaux, l’envoi de mails d’information hebdomadaires et la publication de contenus à forte valeur ajoutée, tels que des podcasts, des vidéos ou des ressources PDF téléchargeables. 

7. Récompenser les clients fidèles

Si un client ne se sent pas apprécié, il suffira d’une erreur ou d’une « meilleure opportunité » chez un concurrent pour qu’il quitte le navire. C’est pourquoi il est essentiel de récompenser les clients qui restent. Une étude McKinsey de 2022 a révélé que 64 % des membres de programmes de fidélisation sont plus susceptibles d’acheter plus fréquemment et que 31 % sont prêts à payer un prix plus élevé pour rester fidèles à une marque. 

Récompenser la fidélité peut prendre la forme d’un maintien des droits acquis en cas d’augmentation des tarifs ou de l’envoi de surprises ou de primes lorsqu’un client passe sa quinzième ou sa vingtième commande. Si vous mesurez la fidélité en fonction de l’ancienneté d’un client, vous pouvez lui envoyer un article gratuit à certains intervalles, par exemple trois mois, six mois ou un an. 

8. Utiliser des mail automatisés pour inciter les clients inactifs à passer à l’action

Un autre moyen de favoriser la rétention est de veiller à ce que les clients soient aussi actifs que possible. 

Si un client est resté inactif pendant plusieurs semaines, vous pouvez configurer un mail automatisé via votre logiciel CRM afin d’encourager l’utilisateur à agir. 

Par exemple, si vous suivez les interactions des utilisateurs avec votre application et que vous remarquez qu’ils n’ont utilisé que quelques fonctions, un mais expliquant comment utiliser d’autres fonctions peut réactiver leur intérêt. Les mails peuvent inclure un contenu éducatif, tel que des études de cas réussies d’autres clients ou des guides de bonnes pratiques. Cette approche peut également contribuer à améliorer la fidélité à la marque, car elle permet d’établir votre marque en tant qu’expert du secteur. 

Points clés à retenir

  • Le taux de rétention est un indicateur qui mesure le pourcentage de clients qui utilisent encore votre service ou votre produit après une période donnée.
  • Vous pouvez calculer votre taux de rétention en comparant le nombre de clients de votre marque au début d’une période donnée avec le nombre de clients de votre marque à la fin de cette période.
  • Un taux de rétention élevé signifie que vos clients existants apprécient votre service ou votre produit et constituent une source durable de revenus.
  • Vous pouvez déterminer le taux de rétention de votre marque de plusieurs façons, notamment en utilisant la formule de base, en effectuant une analyse de cohorte et en calculant le taux d’achat répété de votre marque. 
  • Parmi les stratégies permettant d’augmenter le taux de rétention de vos produits, citons la collecte de feedback clients, l’exploitation des données relatives aux produits et la réalisation d’une cartographie de l’expérience client. Cela vaut également la peine de récompenser la loyauté et de veiller à ce que votre marque reste en tête de liste.

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Taux de conversion (Conversion rate) https://www.appsflyer.com/fr/glossary/conversion-rate/ Tue, 05 Mar 2024 12:01:22 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/taux-de-conversion/ Qu’est-ce que le taux de conversion ? Un taux de conversion est utilisé pour mesurer l’efficacité d’une campagne ou d’un contenu. Plus précisément, il indique la fréquence à laquelle les visiteurs ou utilisateurs ont effectué l’action souhaitée, par exemple cliquer sur un lien, en s’inscrire à un événement ou en effectuer un achat. Un taux […]

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Un taux de conversion est une métrique marketing qui indique le pourcentage de fois qu’un utilisateur a effectué l’action souhaitée.

Conversion rate

Qu’est-ce que le taux de conversion ?

Un taux de conversion est utilisé pour mesurer l’efficacité d’une campagne ou d’un contenu. Plus précisément, il indique la fréquence à laquelle les visiteurs ou utilisateurs ont effectué l’action souhaitée, par exemple cliquer sur un lien, en s’inscrire à un événement ou en effectuer un achat.

Un taux de conversion est toujours exprimé en pourcentage : plus il est élevé, plus votre campagne est réussie. Les taux de conversion moyens varient selon le secteur d’activité, mais ils se situent généralement dans les limites les plus basses. Par exemple, seulement 2 % des téléchargements d’applications aboutissent généralement à un achat. Cela signifie qu’une légère modification de votre taux de conversion suffit pour avoir un impact important.

Pourquoi votre taux de conversion est-il important ? 

Votre taux de conversion est précieux car il vous indique l’efficacité d’une page ou d’un contenu.

Après tout, vous ne produisez pas du contenu pour le plaisir. Tout a un objectif dans le cadre de votre plan marketing, qu’il s’agisse d’encourager les utilisateurs à acheter, à s’inscrire ou à effectuer une autre action. Bien que les statistiques telles que les pages vues ou les impressions soient informatives, elles ne vous indiquent pas si votre contenu rempli vraiment son office, qui consiste à pousser les utilisateurs à agir. 

Prenons l’exemple d’une campagne publicitaire digitale dont l’objectif de conversion est d’augmenter le nombre de téléchargements d’applications. Vous aurez peut-être un bon taux de clics (CTR) sur la liste des applications, mais si peu de personnes téléchargent l’app, votre campagne ne fonctionne pas comme elle le devrait. 

Les taux de conversion aident les spécialistes marketing à comprendre les points faibles de leur funnel marketing. Dans l’exemple ci-dessus, l’annonce elle-même fonctionne bien (elle attire clairement l’attention des internautes), mais la landing page ou l’offre promotionnelle peuvent présenter des problèmes que vous devez résoudre. 

Comment calculez-vous votre taux de conversion ?

De nombreuses plateformes d’analyse comme Google Analytics ou AppsFlyer calculent le taux de conversion pour vous une fois que vous avez défini vos objectifs. Mais vous pouvez le calculer vous-même à l’aide d’une formule simple. 

Il vous suffit de prendre votre nombre de conversions (utilisateurs ayant effectué l’action souhaitée) et de le diviser par le nombre d’interactions avec votre contenu (vues, ouvertures ou clics, par exemple). Multipliez ensuite ce nombre fractionnaire par 100 pour obtenir votre pourcentage : 

Formule du taux de conversion

Par exemple, si une landing page compte 1 000 vues et que 25 de ces sessions ont donné lieu à un achat, vous avez un taux de conversion de 2,5 % (25/1 000 = 0,025 ou 2,5 %). 

Quels sont les facteurs qui influent sur les taux de conversion ?

Pensez à la complexité de la décision d’achat moyenne en ligne. Est-ce que j’aime le produit ? Cela fonctionnera-t-il avec l’espace ou l’appareil que j’ai à l’esprit ? Que disent les critiques ? Est-ce que ça vaut le coup ? Puis-je l’acheter ailleurs pour moins cher ? Puis-je faire confiance à cette entreprise ? Vous devez capter l’attention de l’utilisateur et surmonter les objections dans un laps de temps très court.

Bien entendu, vous devez démontrer la valeur de votre produit ou service à l’aide de messages et d’images forts. Mais cela ne suffit pas en soi. Vous avez également besoin d’un puissant appel à l’action et d’une expérience utilisateur fluide. Voici les principaux facteurs qui influent sur les taux de conversion. 

  1. Temps de chargement de la page. Les consommateurs ont tendance à rebondir (bounce rate) si le chargement d’un site prend plus de quelques secondes : ils perdront tout intérêt ou décideront de ne pas y faire confiance. Une étude menée par Portent montre qu’un site se chargeant en une seconde convertit 2,5 fois plus de clients qu’un site qui se charge en cinq secondes.  
  1. Design de page. La conception de votre site Web et de vos pages est essentielle à l’optimisation de votre expérience utilisateur. Il va sans dire que votre site Web doit être optimisé pour l’affichage mobile et suivre les meilleures savoir-faire en design Web. Utilisez des images, des graphiques, des vidéos et des sous-titres pour séparer les gros morceaux de texte. Veillez à ce que votre contenu soit précis et pertinent, et faites ressortir les appels à l’action.  
  1. Différenciation. Si votre page est hébergée sur un site de vente tiers comme Amazon ou les stores d’applications Apple ou Android, vous n’avez aucun contrôle sur la conception de la page. Votre contenu sera également mis côte à côte avec celui de vos concurrents, qui vendront peut-être à peu près le même produit. Suivez les meilleures pratiques spécifiques à chaque site pour optimiser les conversions sur le marché, et utilisez des « preuves sociales », et des images accrocheuses pour faire ressortir votre offre.
  1. Prix et offre. Il se peut que votre utilisateur soit intéressé par votre produit ou service, mais qu’il soit rebuté par vos prix. Réalisez un Benchmark avec la concurrence pour vous assurer que vos frais et votre structure de prix se situent dans la fourchette moyenne de produits ou services comparables. L’utilisation d’offres promotionnelles peut créer un sentiment d’urgence pour inciter les utilisateurs à effectuer une conversion. 
  1. Message du CTA. Le facteur le plus important qui influe sur votre taux de conversion est votre appel à l’action (CTA). Un contenu efficace se sert des instructions pour inciter l’utilisateur à rester en mouvement. Indiquez clairement aux utilisateurs la prochaine étape à suivre et choisissez les bons mots pour y parvenir. Au-delà des messages CTA classiques tels que « Inscrivez-vous » et « En savoir plus », sortez des sentiers battus pour souligner l’importance de passer à l’action. Par exemple, essayez « Commencez à économiser » au lieu de simplement « Inscrivez-vous », ou « Découvrez votre prochaine destination » au lieu de « En savoir plus ». Trouvez l’inspiration des autres pour le CTA et testez pour trouver ce qui fonctionne. 
CTA pour taux de conversion

6. Format et placement du CTA. Le type de CTA le plus courant est un bouton, mais ce n’est certainement pas le seul. Les bannières, les fenêtres contextualisées, les diapos, les formulaires et les liens en ligne sont autant d’options permettant d’inciter l’utilisateur à agir. Si vous vous en tenez au bouton qui a fait ses preuves, faites attention à sa conception (contraste des couleurs et espacement) et à son placement sur la page. Pour un contenu plus long, par exemple, vous souhaiterez peut-être inclure un CTA au-dessus du fold et un autre à la toute fin.

Les meilleurs conseils pour améliorer votre taux de conversion

Personne ne veut d’un funnel marketing qui laisse échapper des utilisateurs potentiels.. Suivez ces conseils pour optimiser votre taux de conversion afin d’augmenter vos revenus et le retour sur investissement (ROI) de vos dépenses marketing. 

Trois erreurs de taux de conversion à éviter

Votre taux de conversion est donc inférieur à celui de vos pairs. Et maintenant ? Assurez-vous de ne pas être la proie de ces faux pas en matière de taux de conversion pour les débutants. 

1. Mesurer le mauvais choix

Si vous avez élaboré une stratégie de contenu solide, chaque pub ou élément de contenu doit mener à un objectif. Cependant, l’objectif ne doit pas être le même pour tous les contenus. Bien entendu, votre objectif ultime en matière de marketing est de permettre à quelqu’un de finaliser un achat. Pour le contenu du bas du funnel, c’est ce que vous allez mesurer. 

Pour le contenu situé en haut ou au milieu de ce funnel, il se peut toutefois que ce ne soit pas l’objectif qui définira une conversion. Vous devriez plutôt vous pencher sur la génération de leads et les conversions liées au lead nurturing. Par exemple, un utilisateur télécharge une ressource, s’abonne à une newsletter ou aime votre page de réseau social. 

Une fois que vous avez franchi la précieuse étape consistant à ajouter quelqu’un à votre liste d’e-mails, vous pouvez mesurer les conversions en fonction de votre prochain objectif, qui peut être l’inscription d’une personne à un essai gratuit, par exemple. 

2. Vous demandez trop d’informations?

Les consommateurs abandonnent près de 70 % des paniers d’achats en eCommerce. Le coupable probable ? Un processus de paiement fastidieux. Le processus de paiement en ligne comprend en moyenne 23 éléments, soit deux fois plus que le chiffre considéré comme optimal par l’Institut Baymard. 

Les longs formulaires de génération de prospects peuvent également amener les gens à les abandonner avant de les remplir. Les clients abandonnent les conversions lorsqu’ils estiment que le temps investi ou l’expérience l’emportent sur les avantages escomptés. 

3. Ne pas donner suffisamment d’informations

Trouver la bonne quantité d’informations à partager peut être un équilibre délicat. Cependant, les clients doivent en percevoir clairement la valeur avant de passer à l’étape suivante. Vous pouvez y parvenir en :

  • Lister des avantages matériels mais aussi plus abstraits
  • Afficher plusieurs images, vidéos et informations sur les produits
  • Publier des recommandations telles que les avis des clients, les récompenses du secteur ou la couverture médiatique

Les gens font également preuve de prudence dans la manière dont ils divulguent leurs informations personnelles. Si vous leur demandez de s’inscrire à une liste d’e-mails, par exemple, indiquez-leur à quelle fréquence ils peuvent s’attendre à être contactés et quelle est votre politique de confidentialité (afin qu’ils puissent être sûrs que vous ne vendrez pas leurs données).

Si vous encouragez les utilisateurs à profiter d’un essai gratuit ou d’une offre spéciale, vous pouvez ajouter le mot « gratuit » dans votre CTA ou utiliser d’autres garanties telles que « aucun achat nécessaire » ou « aucune carte de crédit requise ». Cela permet d’éliminer les craintes et aide les gens à se sentir plus à l’aise lorsqu’ils profitent d’une offre.

Trois moyens d’augmenter votre taux de conversion

Une fois que vous avez ciblé la bonne action de conversion et créé votre lead generation ou votre lien d’achat, optimisez votre contenu pour convaincre davantage d’utilisateurs de convertir. Suivez ces conseils en matière de taux de conversion pour vous aider à augmenter vos revenus et à augmenter le ROI de vos dépenses marketing. 

1. Localisez votre contenu

Imaginez que vous cliquiez sur une annonce pour découvrir que la landing page est rédigée dans une autre langue, contient des références culturelles que vous ne comprenez pas ou indique son prix dans une autre devise.

Il est essentiel de localiser votre contenu si vous avez une audience globale, en particulier si vous menez des campagnes payantes dans plusieurs pays. Tout d’abord, localisez vos messages pour tenir compte de la langue, des différences dialectales et des références culturelles. La création de pages Web et de listes d’applications spécifiques à chaque pays peut vous aider à y parvenir. 

Localisation du taux de conversion

Ensuite, localisez vos images pour vous assurer qu’elles correspondent au groupe démographique auquel vous vous adressez. 

Enfin, assurez-vous que les aspects fonctionnels de votre conversion, tels que la devise, les frais d’expédition et la disponibilité des produits, sont localisés dès le départ. C’est une mauvaise expérience pour un client d’arriver à la fin d’une expérience de paiement et de constater que les frais d’expédition seront nettement plus élevés ou qu’un produit n’est pas disponible dans sa région.

2. Affinez votre message

Si votre annonce suscite un bon engagement mais que votre taux de conversion est à la traîne, examinez de plus près le contenu de votre landing page. Est-ce qu’elle attire l’attention ? La valeur de votre offre est-elle claire ?  Ou pourrait-il y avoir un décalage entre votre message publicitaire et le message de votre landing page ?

Le meilleur contenu permet de situer le problème, et de déterminer comment votre produit ou service le résoudra. Si ce n’est pas nécessaire ou s’il n’y a pas de solution claire, il n’y a aucune raison d’acheter.

Il est judicieux de faire appel à un rédacteur ou à une agence de rédaction professionnel pour optimiser le contenu de votre page. Utilisez des études de marché ou des A/B tests via du contenu dynamique pour découvrir quel message trouve le meilleur écho auprès de votre public. 

3. Créez un sentiment d’urgence

Ce n’est pas pour rien que les ventes suscitent un tel engouement : elles nous donnent l’impression d’avoir gagné quelque chose. En créant un sentiment d’urgence, vous donnez aux gens l’impression de gagner en économisant de l’argent, ou en obtenant quelque chose gratuitement. À l’inverse, vous créez un sentiment de manque qui pourrait leur faire passer à côté de quelque chose en n’agissant pas. Jetez un œil à ces exemples :

  • « Profitez de votre offre spéciale avant le 1er décembre »
  • « Inscrivez-vous aujourd’hui pour économiser 100$ »
  • « Dépensez 50$ et recevez un cadeau gratuit »

Même si vous n’avez pas de réduction ou de cadeau à offrir, vous pouvez toujours utiliser cette tactique. Dans un exemple B2C, vous pouvez mettre en évidence les moments où le stock est faible (« Les stocks se vident » ou « Les derniers disponibles »). Dans le SaaS B2B, vous pouvez positionner la valeur de manière très directe. Si vous avez avancé l’argument selon lequel un service permet de gagner du temps, par exemple, utilisez un CTA tel que « Économisez 2 heures de travail administratif cette semaine ». 

Points clés à retenir

Votre taux de conversion est peut-être faible, mais très efficace. Grâce à cette métrique, vous pouvez supprimer les indicateurs les moins significatifs, tels que le trafic, afin de déterminer dans quelle mesure votre contenu est efficace pour encourager les utilisateurs à agir. Avec des outils et des stratégies d’optimisation à portée de main, vous pouvez augmenter votre pourcentage et générer plus de prospects et de ventes. 

N’oubliez pas ces principes :

  • Déterminez les actions que vous souhaitez que les utilisateurs prennent dans le cadre de votre stratégie marketing. Outre les ventes, n’oubliez pas la création d’audience et les conversions par lead génération.
  • Portez autant d’attention à votre format et à votre design qu’au message.
  • Créez un CTA exceptionnel pour rendre votre offre irrésistible : montrez aux utilisateurs la valeur que votre produit ou service apportera.
  • Utilisez l’émotion et le sentiment d’urgence pour inciter les utilisateurs à agir.
  • Suivez votre taux de conversion au fil du temps. Utilisez les A/B tests ou apportez de petites modifications au fil du temps pour vous assurer que les résultats sont à la hausse.

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